Arctic Monkey : test pour devenir lvl 3, n°4.

Citation :: Je poussai l'immense porte de bois de l'ancien monastère. Qui était maintenant le FU, Forks University. C'était vraiment moche comme nom, mais le batiment était beau. Ils avait été complètement renouvelé, il y a deux ans. Quand on entrait dans l'édifice, on se trouvait entouré avec un immense panneau d'informations inutiles et à gauche, un mur pierreux et construit il y a plus de deux-cents ans. Après, je sortait par l'autre porte -en face de la plus grande- et descendai les escaliers quatre à quatre. J'étais -encore- en retard.
Je n'avais même pas le temps de tirer une grimace de répugnance envers les taches rouges qui étaient dessinées sur les escaliers. C'était vraiment moche cette chose. En fait, c'était un dessin énorme, qu'il fallait voir d'en haut. Et encore, quand on voyait d'en haut, c'était censé représenter une fleure imaginaire, mais je trouve que cela ressemblait plutot à un hérisson applatti.
Quand j'étais arrivée en bas des escaliers, j'entrais dans le sous-sol. Il y avait deux étages en dessous du rez-de-chaussée, qu'on atteignait par les escaliers. J'entrai par la prote de verre, et me précipitai vers l'ascenceur. Comme par hasard, il était tout en haut, donc je devais attendre. Je jettai un coup d'oeuil derrière, et vit l'absence de la secrétaire, qu'on surnommait Barbie. Devinez pourquoi. Bref, son absence m'intriguait. Je n'avais pas l'habitude de ne voir peresonne derrière le grand comptoir en bois brun-noir. Elle avait beau être Barbie, tout le monde l'adorait. Surtout moi, car c'est la marraine de Zélie. Ma marraine est en Australie avec son Marcel, et m'envoie des cadeaux tous les 10 ans. C'est pour cela que je prenais Pepper (son vrai nom) pour ma marraine à moi aussi.
L'ascenseur s'ouvra, et je rentrai dedans. Soudain, il se bloqua. Chouette. J'étais quasiment trop timide pour crier à l'aide. Comme la lumière s'était étéinte, je me doutais que le bouton '''SECOURS'' avec la belle petit clochene marchait plus non plus. Allais-je enfin découvrir si j'étais claustrophobe, ou pas?

"Aidez-moi! Y a que..."

Je fus interrompue par un Diiing, et par la réappartion de la lumière. Les portes s'ouvrèrent. En vitesse, je me ruai vers mon local. Je frappais et entrais.

''T'as d'la chance Maelune, l'prof est aller faire des photocopies. Bizarrement, il n'a pas remarqué ton absence.''

C'était ce que cette imbécile de Nathan avait lancé d'un ton ironique. Je le déteste. Il m'appellait Maelune, car le premier jour, j'avais oublié ma ceinture. En attendant on était deux jours après, et chaque jour, j'espèrais qu'il avait oublié cette incident humiliant. Ce qui n'était pas le cas. Pas du tout. La feinte pas marrante avec l'absence, c'était parce que lui, il l'avait remarqué, que j'étais discrète. En l'ignorant complètement, j'allais vers mon petit banc adoré tout derrière, le banc où il n'y avait qu'une chaise, le banc qui était trop petit pour mettre deux chaises. Mon petit banc exclus, exilé du champ de vision de Docteur Lannoy, notre très cher professeur. Exilé car derrière les deux géants de ma classe. En plus, eux ils sont même pas des monstres, et ils sont plus grands que moi. Mais je fus surprise par Oliver, le garçon le plus populaire des pemières années.

"Laisse la tranquille, t'es pas marrant"

J'étais super flattée, mais je me sentais bizarre. A chaque fois qu'un garçon était gentil avec moi, je me sentias super attirée par ce garçon. *Que m'arrive-t-il ?!* . Je m'assoyai et sortit en vitesse mon Ordinateur Portable. Le professeur entra, et commença son cours.

A la fin du cours, le prof dis encore :
"Pour la semaine prochaine, je veux une biographie complète sur Aristote, notre tout premier photographe, bien qu'il ne s'en rendait pas compte. Dix pages recto-verso, aller sur Internet, à la bibliothèque de Forks, mais ne faites pas de copier/coller, sinon c'est zéro. Je veux que vous prenez note des treize évènements fondamonteaux de sa vie, cela enrichira un peu votre culture inexistente, bande de crevettes. De plus, Nathan, si tu vas dans la bibliothèque personelle de ton père, je te fous une retenue. Pas de discussion, je sais bien qu'il a un livre unique sur les treize évènements fondamenteaux de la vie de notre ami Aristote. Ton père est au courant."
Le prof était si intelligent! Non, c'était moi qui était méchante. Quand on est sorti des cours, j'ai voulu dire un merci à Oliver, mais il était déjà parti. Je sortai et n'aperçus toujours pas Pepper sur sa chaise. Je soupirai et montai les escaliers, en route pour la bibliothèque...

Oké oké ! A nous deux... Twisted Evil

Les renseignements :

Thème : Moyen Age
Mon personnage : Assassin

Spoiler:
Ton personnage : le roi grand, beau, jeune, enfin... ce genre de don juan, si tu vois ce que je veux dire.
Autre détails : Ton personnage est parti sur un galion pour un de ses contacts du pays de l'autre côté de la mer.

Bonne Chance !

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Le vent me fouettait le visage. Je le maudissais : il rendait ce voyage plus qu'inconfortable. Il meurtrissait mes doigts qui se crispaient autour du bois mouillé du galion. Il giflait mes cuisses à travers le fin tissus de lin qui les recouvrait. J'avais eu raison de l'acheter, malgré mon arrogance : je n'ai jamais froid; le froid n'est qu'une information. Comme la douleur et les sentiments... Je m'égare. Cette position intenable à l'arrière du galion, avec le vent et la pluie pour me rendre la vie dure, dépassait les entendements du mot

. Je n'ai jamais froid... sauf maintenant.

J'avais essayé d'intégrer l'équipage pour cette croisière vers le pays de Malchïen. Mais, vu les célébrités qui voyageaient en première classe à bord du vaisseau, ils n'avaient permis aucune nouvelle recrue. Et ils avaient raison... mais bon, c'était de leur faute si je me retrouvais pliée en deux, accroupie sur une de ces sculptures quasi inestimables, avec les éléments qui se déchaînent autour de moi... que dis-je ?

moi.

Mon correspondant m'avait ordonné d'attendre que le galion soit en haute mer, loin du moindre morceau de terre. Je regardais autour de moi : c'est sûr qu'on est au bout du monde... ça va pas être facile facile de se cacher jusqu'à ce que le bateau arrives au port. Je soupirai... bon, je trouve toujours bien un moyen de m'en sortir. La preuve : bientôt sept ans en tant qu'assassin, et j'ai une cicatrice - correspondant à une chute mal réceptionnée dans un entrepôt. Rien de bien méchant... Je trouverais un moyen.

Il est temps. Je le sens... et je crois que ma futur-victime le sens aussi. Je ris silencieusement, du haut de ma petite sculpture de bois trempée, jusqu'au coeur : qu'il profite. Je me lève... Aïe. Mes genoux restés immobiles tout ce temps me démanchent. Je grogne... bon d'accord, je fais avec. Je saute habilement de sculpture en sculpture, pour arriver au pont. Enfin, je peux marcher normalement. Après avoir passé près de deux heures dans le noir presque total (ne voyant que grâce aux reflets sur l'eau), toutes ces petits lanternes m'aveuglent. Bon bon, fait comme si rien n'était, ça suffira. Je suis à croupie - je déteste les robes et ma tenue de travail n'est pas trop adaptée aux réceptions royales.

D'un habile enchaînement impliquant le garde-fou, la gouttière et un pilier métallique, je me retrouve sur le toit. Sur le ventre, je regarde à l'intérieur. Hum... il y a tellement de gens... je ne le trouverai... Ah ! Il est là. Hum... il est pas mal dans le genre. Bon, le problème, c'est qu'il est bien accompagné. Réfléchit... réfléchit. Ho Ho... Que pointent ses yeux avec tant d'envie ? Une jeune brunette qui se tient près de la porte. Parfait.

Je descends de mon repère et me colle au mur du coin. La fille est à un mètre de moi, je passe le coin.

" [color=sienna]Bonjour... vous avez remarquez qu'il vous regarde, n'est ce pas ?[/color] "

Elle se retourne, comme si je l'avais prise la main dans le sac. Elle me dévisage. Bon, elle se demande sûrement que fait une femme comme moi habillée de cuir et de lin foncé, avec une jupe déchirée et un foulard non moins arrangé, mais je n'ai pas le choix.

" [color=darkorange]Qui êtes-vous ?[/color] "

" [color=sienna]Personne... qui puisse vous servir. Faites moi confiance, le roi vous dévore du regard. Pourquoi êtes vous encore ici ?[/color] "

Ca, ajouté à ma petite persuasion naturelle, c'est dans la poche. Elle me regarde comme si j'étais un fantôme - bien, c'est ce que je suis, non ? Elle doute, je l'encourage du regard... elle part. Ouf... c'était plus facile que je ne l'aurais cru. Je la regarde avancer, puis parler au roi. Un sourire malicieux se dessina sur mes lèvres.

Bon Bon... On changera le test. Je peux comprendre que tu ne soies pas trop chaude pour écrire ce genre de RP... m'enfin tu l'aurais fait, j'aurais été super fière de toi ^^'

Je te laisse la liberté de lancer un nouveau thème (*commence à en avoir marre de devoir faire tout le boulot en inventant les contextes*). Je répondrai.

... Surprend moi ! ...

Ok merci! J'vais réfléchir à un thème. MOUHAHAHA! (rien avoir, comme dirait Empereur Pingu : j'aime les huitres)

Edit : Pour finir, j'aimerais quand même bien essayer. J'te promets pas que ça va être génial, mais bon, j'essaie! Very Happy

Spoiler:

(et c'est quoi ce flood dans MON sujet)

Petit rappel. J'aimerai achever les testes en cours.

• Mon Personnage :

Spoiler:

Mon père avait déjà prévu de me faire partir sur ce galion avant son décès. Une des seules activités qui n'avait été annulée. Sa mort ne m'avait pas choquée, et apparemment, j'étais le seul qui ne s'était pas étonné. Etais-je donc le seul qui l'avait senti arriver? Cela ne faisait-il pas quelques semaines que son état s'empirait? Ma mère en était bouleversée, et était restée au château. Mes soeurs aînées étaient restées avec elle, pour la réconforter. Mon petit frère et moi demeurions donc sur ce bateau, partis pour apporter la nouvelle à Oncle Howard.

J'inspirais l'air frais et m'appuyais contre le bois. Il était richement décoré, et je caressais la matière avec mes doigts. Il faisait extrêmement froid, et je n'étais pas habitué à une température pareille, donc je décidai de rentrer dans le salon. Mon entrée ne fut remarquée, ce qui me déplut fortement. Même après un petit toussotement, nul ne remarquait ma présence. *N'ont-ils donc aucun respect pour leur nouveau roi? Déjà qu'on n'a pas pu le fêter!* étaient les paroles égoïstes qui résonnaient dans ma tête. Mon regard se posa sur mon frère, papotant énergiquement avec sa fiancée Marguerite et son horrible mère. *Telle mère, telle fille!*

Araicia, "mon accompagnatrice'' de la soirée précédente n'étais présente. Mes yeux parcouraient la salle, afin de vérifier son absence une deuxième fois, on ne sait jamais. Rassuré, la tête haute pour montrer mon autorité à tous ces gens, je traversais la pièce à grands pas. Après avoir zigzagué entre les groupes de personnes bavardant gaiement sur les réussites de leurs enfants, j'atteignis enfin l'autre bout de la pièce. D'ici, légèrement écarté des autres, j'avais une vue plus globale sur la compagnie. D'abord mes yeux tombèrent sur deux soeurs caquetant plaisamment, l'une portait une longue robe jaunâtre, l'autre un ensemble de même couleur mais de modèle différent. Mon regard était fortement attiré par le décolleté de la première —celui de la deuxième était entièrement caché par une rivière de grosses perles jaunâtres, et je suivais le couple des yeux jusqu'à ce qu'elles sortent du salon.

Après avoir observé plusieurs hommes, dames, et surtout gentes demoiselles, mes yeux se sont arrêtés sur le plus bel être de toute la salle. La jeune fille que je voyais de profil était d'une beauté à tomber par terre —ce que je failli faire. Une masse de boucles rousses lui tombaient jusqu'au milieu du dos. Ses yeux étaient d'un vert vif, qui mettait un valeur le petites taches de rousseur sur son nez et ses joues. A ses oreilles pendaient des petits diamants bleus clair, assorti à ses autres bijoux. Elle portait une simple robe bleue, cependant un bleu plus foncé que ses boucles d'oreilles. Elle avait les deux mains l'une sur l'autre, à hauteur de son nombril. Elle semblait parler à quelqu'un, et, alors que je ne l'avais pas prévu, la rouquine s'avança vers moi...

"Euh... Bonjour, majesté, ... euh ... Je suis Apolinne d'Oiron" prononça-t-elle en se penchant pour me saluer. "J'ai remarqué que vous me ... regardiez, ... Donc, je suis venue vous saluez... hum..." continua-t-elle, légèrement embarrassée.

C'était ma chance. Ma chance de la séduire.

"Je vous en prie, Apolline, appelez-moi Florentin... "lui dis-je en lançant mon irrésistible sourire en coin.

Je pris sa main et y posa mes lèvres. Elle posa le bout des doigts de son autre main sur ses lèvres pulpeuses et rougit légèrement, poussant un petit rire joyeux. Elle était presque aussi irrésistible que moi, quand elle me fixait avec ses grands yeux verts. J'espérais qu'elle était différente de Laureline, et toutes les précédentes, mais je le craignais. Pourtant, elle était venue vers moi, moi seul.

Spoiler:

Spoiler:

Mon plan avait marché dans la mesure où le roi s'était totalement désintéressé du groupe de bourgeois avec qui il parlait en voyant arriver la jeune fille. Je doit bien avouer avoir apprécié sa démarche, alors que ses boucles rousses s'étiraient et volaient au grès de ses mouvements, que je crois un peu exagérés. Je ne peux pas embrasser le sentiment de succès en faisant partir mon derrière de droite à gauche à chaque foulée, quand je marche vers un roi. Je me sens bien plus satisfaite lorsque que vois le sang bleu s'étaler sur le parquet. Mais s'il n'en fallait pas plus sur rendre cette jeune courtisane heureuse, tant mieux pour elle.

Je les observe échanger quelques mots, que je ne pouvais pas entendre. Là, je tiquais : quoi s'ils n'avaient absolument pas les mêmes priorités et envies qu'ils ne le laissaient croire ? Mon plan n'est fiable que s'ils s'isolent, ce que j'attends bien d'une beauté en robe bleue nuit. J'eus aussi bien fait d'enfiler cette maudite robe et de me faire passer pour cette Duchesse Greenwar, qui fut ma victime, il y a quelques jours d'ici. A la place, beaucoup étaient en deuil et en plus elle ne m'aura servi à rien. Et j'aurais sans doute été beaucoup plus vite. Mais mes talents d'actrice étaient limités et je ne pouvais courir le risque d'être dévisagée. Et puis, ce toit couvert de glace n'était pas si inconfortable, comparé à une robe de courtisane, de ses nombreux nœuds et son corset que je ne pourrais défaire seule.

Toujours couchée sur le ventre, reculée derrière la gouttière, j'observe les deux personnalités faire connaissance. C'est ennuyeux. Les rires exagérés de la courtisane, à des termes qu'elle ne comprend sans doute pas, ses mouvement de cils et ses rougissements que je devrais qualifier de mignons, ne fond pas avancer mes projets. Par contre, le regard fasciné du roi, lui, commence à signifier quelque chose.

Je me désintéresse un peu d'eux et je laisse mon regard survoler les festivités. Où est mon employeur ? Il devrait être présent... Ah. Le voilà. Je n'avais vu de lui qu'une peinture, pour me donner une idée de sa tête. Il ressemblait curieusement au roi. Les mêmes vêtements de velours, et le même teint halé. Mais mon regard sur la haute société peut très bien fausser mes impressions : ils se ressemblent tous, ces hommes en bas collants entourés de filles dont les efforts pour se démarquer ont souvent le succès : j'arrive plus ou moins à les démarquer les unes des autres. Sauf les deux en robe jaune, dans le coin supérieur de la salle. Elles sont ensemble depuis le début, et je n'arrive toujours pas à savoir laquelle a commandé du champagne et laquelle s'est contentée d'un verre de punch.

Ayant fini mon examen des lieux, mon regard se met en quête du couple royal qui devrait être le centre de mon attention. Je failli glisser. Où sont-ils ? Ils ne sont plus à l'endroit où je les avais laissé, environ une demi minute au part avant. Mes yeux s'affolent, en inspectant toutes les issues... Les voilà ! J'ignore si c'est la chance qui m'a fait reprendre ma mission alors qu'ils n'avaient pas encore quittés la salle, ou mon instinct qui les surveillait secrètement. Ils se dirigent vers les cellules. Cela signifie que mon plan fonctionne plutôt bien, en fait. Quelle que soit la raison qui les pousse à l'écart (après tout, ça peut aller des envies d'intimité jusqu'à la fille qui attrape froid et qui va y chercher un vêtement), j'avais gagné. La suite serait un jeu d'enfant.

En me levant, la peau de mon ventre, qui s'était collée à la ma fine tenue de lin, qui elle même était collée à la glace sur le toit, subit comme une brulure. Une partie du lin qui était en contact avec le gel se déchire. Et le vêtement étant comme collée à mon ventre, j'avais envie de crier. Mais seul un petit piaillement, couvert sans peine par le bruit des vagues, s'est échappé de ma gorge. Mes yeux se remplissent de larmes, et je contemple mon ventre rougis. Contractant tous mes muscles, j'ignore l'

en me mettant à marcher sur le toit. Ce dernier était en pente, et fort glissant. Mais en m'accrochant aux différentes charpentes, et aux câbles qui retenaient les voiles, j'entame une série d'acrobaties qui me mènent à l'autre bout du bâtiment.

Cette partie du bateau était déserte. Tant mieux, pour moi, et je me permis de descendre du toit pour marcher sur le pont, comme toute personne civilisée. Ce qui me permis de jeter un œil à travers les hublot, cherchant ma... ou mes victimes.