Test Emperor Peinguin [pour niveau 3] [Number 5]

Citation :: Le soleil se leva doucement sur la belle cité d'Eredill. Même dans les tréfonds de ces lieux , rien ne pouvait arreter ce mouvement sans fin. Belle lune aux courbes blanches venaient de laisser place a des rayons de soleil meurtriers sur la peau du jeune Inquisiteur. Kanon ne pouvait se laisser voir trop au soleil , il détestait cela. Malheureusement pour lui , il faisait un temps magnifique et donc ce qui en résultait c'était une détestable envie de tuer cet astre que pourtant les autres appréciaient. Il portait une capuche qu'il ne mettait pas d'habitude mais la lumière obligeait. Marchant d'un pas lourd , évitant doucement , les endroits fréquentés par la pourriture brigandine , il se dirigeait vers un espace a l'architecture géométrique , d'un blanc extrement pur. Il avait néanmoins pris soin de laisser de quoi manger pour le petit dejeuner a Lynias , lui disant qu'il reviendrait l'après midi et qui lui avait donné de l'argent pour s'acheter a dejeuner le midi sachant que un carosse comme celui de la derniere nuit viendrait la chercher vers 13h00 pour la conduire dans un restaurant chic de la ville. Pourtant , il n'avait pas le temps de penser a cela , non , il avait une mission.

Lorsqu'il poussa la porte du grand batiment de couleur des neiges insouillées , un flot de lumière se deversa dans la piece , si bien qu'on ne voyait de lui qu'une ombre , une grande ombre , venue vous chercher au moment propice de la vie , c'est a dire , la mort , la dette que tout être doit payer , car l'immortel n'existe pas. Kanon entra afin s'approcher d'un grand comptoir , un homme derniere était là. Il avait une figure macabre , chaque os de son crane ressortait comme si , comme si c'était un cadavre vivant. Kanon , rigola a cette pensée pendant que ledit être lui porta un regard interoggateur. Pour cloturer tout cela , l'inquisiteur montra une carte que l'homme se pris d'inspecter d'un regard mefiant. Il lui designa une porte que Kanon se pressa d'atteindre. Une fois a l'interieur , on se saurait cru dans un grand tuyaux blanc. Tout tourna autour de l'inquisiteur pendant que plusieurs runes s'illuminaient et autour de lui les murs se transformaient en sa vision , son souvenir d'hier soir. Kanon utilisait ce qu'on appelait , chemin du souvenir.

Il revoyait les murs refaire sa vision et voir Lynias avec ces signes sur le dos , c'était cela qu'il voulait voir , d'un signe brutal il montra une rune qui s'illumina avant que la vision ne s'arrette. Il sortit un carnet pour noter les symboles dans la plus grande précision , pendant que les murs reprenaient leurs blancheurs , il allut juste le temps avant que le mur ne redeviennent blanc. Il aurait dut sortir et pourtant non. Il appuya sur une rune et tout tourna encore une fois. Il se revit assit sur un fauteuil , devant lui une forme , c'était une femme , elle avait les cheveux blonds et...

C'est fini , Mr. Jaggerjack !

La voix percuta , tout les murs , l'homme squelettique prononça une incantation et tout les souvenirs avec la femme s'écroulèrent , ne se souviendrait-il jamais de son visage ? Il regarda l'être avec mépris , il n'aurait pas dut le faire. Il le souleva avant de le jeter contre le mur et de refermer la porte avant de la bloquer , de la verrouiller. Il sortit quetzacoatl pour la mouvoir dans l'air , comme cette bête si affreuse qu'il avait déja rencontré un jour , un démon de l'air. Il la fit tourner avant de lourdement l'abattre , une fois , deux fois , trois fois... Et alors , les murs se souillèrent de sang et gisait le cadavre défiguré de cet être si idi*t qu'il avait osé troubler de l'inquisiteur , cet inquisiteur qui cherchait le visage de cette femme , celle qui était morte injustement...

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Quand il entra dans la chambre , Lynias était déja rentré , elle était sur le lit. Il s'assit sur le sien et enleva son manteau et son vetement en cuir noir , ce qu'il ne faisait jamais , dévoilant un corps svelte et blanc. Il se laissa tomber sur le lit avant de fixer le plafond , dessinant des lignes avec ses yeux. Finalement , il regarda Lynias , en souriant. Il lui demanda si elle avait passé une bonne journée , des choses de ce genre mais il lui dit surtout qu'on allait sortir ce soir et que ce n'était pas important , c'était extrement important....

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Alors qu'il entrait dans la chambre d'un hotel luxueux aux prix éxubérants , Kanon fit entrer doucement Lynias , lui glissant a l'oreille de ne pas s'inquieter. Il faisait extrement sombre et dans la piece il n'y avait qu'une chose , une table ronde avec trois fauteuils. Sur l'un d'entre eux , il y avait un homme aux cheveux noir de jais. Plutot grand et maigre , il n'était pas moche pour autant. Mais il ne fallait pas se fier aux apparence car cet homme portait un chapeau haut de forme , portant un symbole en forme de lune noire aux contour blancs , le symbole du nyx. Kanon lui montra la feuille où il avait marqué les signes et lui dit.

Traduit ces signes , morgan black ! Si tu le fais je t'enleverais de l'affaire de la secte du Nyx

On m'a déja avertie de ta venue , il faut croire que tu es assez violent avec les gens , Kanon ! Je sais que tu chasse le Nyx dans les basfond d'Eredill... pourquoi je t'aiderais ? Non , franchement , je rigole... Il rigola , puis regarda les signes... Avant de dire doucement... hum...

Emperor Dominus Quasi Cinis , Peinguin Flamis Acribus Addictis
Pret pour le rp...

Les renseignements :

Thème : Pirates
Mon personnage : Une membre de l'équipage et, pour corser les choses, la fille du capitaine

Spoiler:
Ton personnage : Un autre membre de l'équipage qui est comment dire... Fou amoureux de mon personnage ? Ton but est de la draguer.
Autre détails : voici le bateau :

Spoiler:

Amuse-toi bien ! Mwahahahah

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Je tirai énergiquement sur la corde de la grand voile, en même temps que deux autres gaillards de l'équipage.

" Ho.... Hisse ! Ho... Hisse ! "

J'imposai le rythme au reste de l'équipe. Encore quelques fois, puis le dernier de la ligne bloqua la voile par un noeud digne de ce nom. Les muscles de mes bras me brûlaient jusqu'aux épaules. Sur mon front ruisselaient quelques goûtes de sueur dues au travail. Il n'y avait pas que mon front, à vrai dire ; j'avais l'impression de nager dans ma transpiration. Enfin bon, quand on est pirate, on a pas peur de sentir mauvais, et encore moins de se salir. J'essuyai mon visage dans le tissus de ma manche, avant de retirer toutes mes couches en extra. Je passai de veste ample à plusieurs tissus à une simple chemise légère surpassée d'un corset brunâtre qui se voulait blanc. Pouah, qui fait attention à ce genre de détails ? Personne sur ce bâtiment en tout cas.

Je marchai vers l'arrière du navire et observe l'horizon. Ca, c'est le paradis... être ici, sur cette relique puante avec un équipage puant au milieu de l'océan. D'ici, pas de terre en vue... rien que l'eau. L'eau... le grand bleu. Le grand bleu ? La liberté ! Bon, en vérité, la relique puante, je m'en passerai bien. Mais je sais qu'au prochain bateau digne de se nom que notre petite antiquité croisera, mon père - capitaine de ces lieux - donnera l'ordre d'attaquer, et nous déménagerons. Ca c'est la vie, la liberté. Je ne vis que pour elle. D'ailleurs, la vision de ces grandes vagues qui se disputaient ci et là, réveille mes sens. La sauvagerie de l'Océan, l'eau grand O ! Il faisait très chaud. Anormalement chaud pour la saison. Nous n'avions pas eu d'hiver digne de se nom, cette année - et ce n'était pas plus mal ! Je m'en passerai bien, moi, de cette période de froid et de gel où on se dispute la place dans les caves. Maintenant, je préfère dormir sur le pont - qui va m'en empêcher ? La liberté, c'est ça. Pour en revenir à la météo, la chaleur était apaisée par un puissant vent venant de l'Ouest. C'est la raison pour laquelle nous avions dû replier la grand voile - soulignons-le.

Je me mis face au vent.

Qui aurait pu me déranger en ce moment de profonde conscience des éléments ? Je ne réfléchis pas souvent, je dois l'avouer. J'agis par instincts, avec impulsion. Enfin c'est ce qu'on dit, moi, j'ignore même ce que veux dire ce mot. Selon l'équipage, je suis un requin. Je n'ai pas peur d'aller de l'avent, ni de plonger quand l'occasion se présente. M'enfin faut dire, j'ne sais pas m'abstenir non plus quand il faudrait. Bref, je suis un requin. Un requin qui aime la mer. Un requin qui....

" Terre en vue ! " cria un membre de l'équipage.

... qui n'aime pas entendre ces mots. Le capitaine nous hurla :

" Va pour le port ! "

Je poussai un juron silencieux. Quand le capitaine dit quelque chose... on obéis. Sa fille ou pas. Et voilà le bateau qui part pour un nouvel horizon, un horizon de terre et de sable. S'en va la liberté...

Poussés par le puissant vent cité plus haut, nous arrivons sur terre en fin de journée. Les marins sautaient d'impatience. Comme d'habitude, ils passeraient la nuit dans les bars ou autres endroits mal fréquentés, et moi, je garderai le bateau. Quitte à devoir supporter les bruits et les lumières de la ville, autant ne pas perdre les remous et les mouvements des vagues sur la coque. Après avoir marchandé des vivres et de l'eau -

de l'alcool - l'équipage déserte le bateau, me laissant seule.

Je m'installe sur un tonneau, à proximité de la planche raccrochant terre à notre bâtiment. J'entreprends d'aiguiser ma rapière, n'ayant rien d'autre à faire en cet endroit puant.