L'homme mystérieux...

Je suivais mon père dans les petites ruelles de la ville. Derrière lui, un âne qui portait plusieurs sac remplis d’objets précieux. Je marchais bien à l’écart de l’animal, mais quand même assez près pour voir les allures de bijoux couvert d’or. C’était très tentant, mais je savais que mon père n’appréciera pas que sa chère fille lui vole des bijoux. J’étais d’accord avec le fait d’être gâtée, mais je réalisais aussi que je devais avoir un peu de respect pour mes parents. Même s’ils n’oseraient rien me refusé, leur voix savaient se hausser. C’est dont pour ça que je marchais bien calmement derrière mon père et à côté de l’âne, en tenant la pointe de ma robe avec la main gauche. Aaron, mon père, s’arrêtait quelque fois devant une porte s’il trouvait que les habitants de la maison avaient l’air assez riche. A vrai dire, il n’y en avait pas tellement dans cette ville. La marchandise était plus difficile. Encore un des arguments que j’avais utiliser pour rentrée chez ma ville natale, mais rien ne semblait assez pour les convaincre.

Quand enfin on s’arrêtaient à nouveau devant une porte fabriqué en bois, mon père toqua la porte. Quelques minutes plus tard, elle fut ouvert par un jeune homme. Dans quelques mots mon père expliqua sa raison d’être venu. Pas d’intérêt, avait annoncé le jeune homme. Mais quand je rentra la tête dans le petit hall de la maisonnette, j’aperçue certains objets. Des objets féminin. Il ne pouvait pas lui appartenir !

" Excuser-moi, " commençais-je. " Vous avez une fiancée ? Un fille ? Peut-être elle serait intéressé dans les peu bijoux que nous avons a vous offrire. Leur valeur n’est pas si monté que ça. "

L’homme leva la tête rapidement, puis nous laissa rentrer. Il murmura qu'il n'avait qu'une demi-sœur, avant de monter les escaliers et de disparaître quelque part à la deuxième étage. Mon père n’avait toujours pas enlevé sa capuche de marche, et regarda un peu dans la chambre où on se trouvait. A mon tour, j’observais les objets, les meubles, l’intérieur… Comment les gens peuvent vivre ici ? Je me demandais. C’est atroce !
La porte claqua, et encore une personne monta les marches. Plus levée, plus douce… Une femme ?
Rapidement, les bruits recommençaient, mais en descendants cette fois-ci. Une jeune femme avec les cheveux nettement placée en arrière grâce a un magnifique diadème rentra. Mon père avait l’air surpris. Moi-même, légèrement jalouse qu’une fille avec une beauté assez évolué faisait sourire mon père. Ou avait-ce une autre cause ?

" Tiens, jeune demoiselle…" il parlait. " N’est-ce pas une coïncidence de vous voir à nouveau ici ? "

A nouveau ? Où l’avait-il vu ? Ma rage s’évolua et je ne pue m’empêcher de donner la remarque.

" Vous semblez être très sale. Venais-vous donc de la ferme de nous recevoir en tel tenue ? "

Si il aurait pu, mon père m’aurait sûrement tapé. Mais cela n’était pas une tellement bonne idée, maintenant qu’il avait trouvé un client pour des magnifique bijoux. Des bijoux que j’aurais préféré volé que de donner à cette gamine.

Commentaires :

Spoiler:

Solene regarda suspicieusement l'homme se tenant devant elle, ce serait-elle encore attirée des ennuis? Elle était plongée dans ses pensées quand l'homme lui dit:
" Tiens, jeune demoiselle…" dit-il " N’est-ce pas une coïncidence de vous voir à nouveau ici ? "
J'allai lui répondre quand une jeune fille dont je n'avais pas perçue la présence me dit, pas très gentimment:
" Vous semblez être très sale. Venais-vous donc de la ferme de nous recevoir en tel tenue ? "
Elle jeta un oeil à sa tenue, aïe c'est vrai qu'il y avait encore la tache qu' elle s'était faite en tombant et que l'homme l'avait rattrapé. Solene maudit son impulsivité mais dit néanmoins:
-Sans vouloir vous offencer jeune fille, tout le monde n'est pas née avec de l'argent, il y en a qui doivent travaillé pour vivre, ce qui est mon cas, mais pour information, je travaille à une auberge non pas dans une étable. Qui plus est, ce n'est pas moi qui vous aies acceuillie mais mon frère, je n'ai donc pas eu le temps de me changer!

Elle se prenait pour qui celle-là, elle avait tout l'air d'une fille pourrie gâtée! Une envie irrésistible de lui sauter au cou pris Solene mais elle réussi à garder le peu de dignité qui lui restait, oublia donc la jeune fille et se tourna vers l'homme qui, vu son âge, devait être son père.
-Heureuse de vous revoir dans d'autre circonstances!
Solene se retourna et adressa un sourire provoquant à la jeune fille, plutôt jolie d'ailleur, que personne ne remarqua mise à part elles deux.

" Sans vouloir vous offenser jeune fille, tout le monde n'est pas née avec de l'argent, il y en a qui doivent travaillé pour vivre, ce qui est mon cas, mais pour information, je travaille à une auberge non pas dans une étable. Qui plus est, ce n'est pas moi qui vous aies accueillie mais mon frère, je n'ai donc pas eu le temps de me changer ! " me dit-elle.

Comment osait-elle me dire cela ? A moi ! J’allais me révolter, j’allais lui sauté dessus, lui tiré au cheveux,… j’allais la tuer. Non, je me suis dit quand une meilleur idée apparaissait dans ma tête. Pourquoi le faire rapide, si on pouvais le faire lentement ? C’était tellement meilleur de la voir souffrire ! Un plan tout à fait ridicule se désignait dans mes pensés. Le coin de ma bouche bien formé, se leva méchamment. Dans quelques semaines, j’aurais tout dont j’avais besoin. Je me voyais déjà la regardé sans pitié. Puh ! Qui manquerais une fille tellement… épouvantable ? Je me réalisait bien qu’elle n’était pas moche du tout, mais une terrible horreur envers cette fille m’avait pousser au pire. En à pain quelques secondes, elle avait crée une terrible ennemi. Et elle n’allait pas la perdre en quelques semaines. Oh non ! Je refusais tout simplement abandonner sur celle-ci. Et mon père l’avait remarqué. L’haine dans mes yeux bruns était facile a découvrir. Surtout si ce n’était pas la première fois de l’avoir aperçu.

" Heureuse de vous revoir dans d'autre circonstances ! " elle annonçait a mon père, après de m’avoir donner un sourire provoquant.

Aaron ne savait pas comment réagir. Il savait bien que sa fille se comportait rarement comme il le fallait, mais cette réaction était peu venu. Une des fois qu’il l’avait vu, était dans sa ville natale. Un garçon l’avait fait tombé dans une flaque de bous, sans même l’adressé un regard. Elle était sale, de mauvaise humeur, et affreusement fâché. Comment aurait-il réagit à la place du garçon ? En voyant la fille remplis de rage courir vers lui, il s’aurait sûrement excusé pour ensuite lui offrir une nouvelle robe. Mais ce jeune homme là… Il regardait sa cliente avec inquiétude. Le garçon n’a plus jamais vu le soleil du matin. Avec l’aide de quelque gens de la ville, elle a réussi a donner l’ordre au gardiens de le jeté au cachot de la ville. Et en entendant la réponse de cette fille, il craignait bien pour sa vie. Pourtant, Cilian ne disait pas un mot. Elle semblait approfondi dans ses rêves.
Ou quelque chose d’autre…

" Oui, en effet. " il murmura. D’autre circonstances… On pouvait bien appeler sa comme ça. " Je suis un marchand, et vent des jolies objets. Ma fille et moi, on se demandait si vous n’étiez pas intéressé a voir notre collection. "

Je ne pouvait pas croire ce que j'entendais ! Choisissait-il donc vraiment pour cette… chose ? Pas question ! Je sortait ma bource de la grande ceinture qui était soigneusement placé autour de ma taille. Elle avait coûté beaucoup de pièces d’ors a mon père. Mais il aurait tout fait pour me calmé, et comme je désirais l’avoir…
J’ouvris la bource et la renversait sur la petite table qui était installé dans la chambre. Des cinquantaines de pièces, d’ors et d’argents, roulèrent dessus.

" Cela ne va pas être nécessaires. " je réclamais. " J’achète tout ! Ces beautés ne lui sont pas digne, père. "

Il me regardait avec les sourcils levés.

" Mais Cilian… "

Un seule geste suffisait pour le faire taire. J’avais déjà fait ma solution plus tôt. Cette fille là, serais noté dans ma liste d’ennemis. Il n’était donc pas question, qu’elle aurait quelque chose qui nous appartient. Jamais !

Après tout les insultes que la jeune femme m'avait balançé, je commençais a pensée. * Et quoi si... * Cette fille - fermière - aurait-elle assez de courage pour le faire ? Si je voulais l'utiliser, je devrais plutôt devenir amies à la place d'ennemis. Je me calma donc, et essayais a ne pas pensée de la vouloir voir dans un bains de sang. Mon père commençait a s'énèrvé lui aussi, et je réalisais qu'il fallait me tenir calme pour un moment. Très calme... Je m'inclignais donc pour pouvoir ramasser le désordre que j'avais fait. Je n'avais aucune idée des regards qui jouairent au dessu de ma précieuse tête, mais j'en était sûre qu'ils auraient l'air surpris. Surtout mon père. Sa fille, gâtée comme la fille du 3ème roi du siècle de Triban, était entraint de rangée son désordre ? Mais où allait le monde ? J'en étais sûre que pleins d'idées genre : Va-t-elle m'aider à present ? Veut-elle quelque chose d'autres que les bijoux que j'aurais a lui offrire derénavant ? Aurait-elle du respect pour les gens à ses côté ? Oui, j'en était sûre...
Pas que j'avais l'intention de faire tout cela - pas du tout ! C'était tout une parti de mon plan. Le plan pour éliminer la fille dont j'ignorais toujours le nom.
En me relevant, je jettais les dernières pièces d'argents trouvée - qui m'appartenairent, bien sûr, je ne suis pas une voleuse - dans ma bource accroché à ma ceinture de cuire. Ma robe n'était plus vraiment égale, c'est pour cette raison que je bougais la jupe de ma robe en velour, pour qu'elle puisse s'égaliser partout. Quand je leva ma tête, la première personne que je voyais, était la fermière.

" Désolé d'avoir causer tout ces problèmes, gente dame. Ce n'était pas mon but de faire tout ceci. Croyais-moi, s'il vous plaît. " je lui dis-je. Ensuite, je me retournais vers l'homme qui sembla s'appelé Orlando. " A vous aussi je dois quelques éxplications. Je suis sincérement désolé d'avoir insulter votre vie. Ce n'était qu'une réaction naturelle sur ce que j'ai apperçue cette après-midi... Je crains pas avoir pu retenir la colère qui flottait dans mon corps, mon chèr, c'est dont pour ça que je vous offre ces tissus en signe de pardon. "

En revenant de dehors et avec quelques tissus - assez chèrs - dans mes bras, je rentrais à nouveaux. Le velour, le satin, la soie, du cachemir en toute couleurs et toute formes. C'était des tissus digne de riches, et quand même, je les donnais en offrande. Dans ma ville natale, ils m'auraient pris pour une folle, mais s'ils connaissaient mon plan...

" Et vous mon père, vous digne de toute richesse, je vous donne le payement. Veuillez accepter mes aides dans ces jours venant. " je lui disait en donnant la moitié de ma bource.

" Non, ma fille. Je ne puis-je accepter cela. Ton aide me serrais utile, mais je vois que tu regrettes tes pêchers, et je te pardonne, ma fille. "

Un sourir sinèctre ce placa sur ma figure, mais j'arrivais a l'enlevée aussi vite qu'il était venue. J'aurais éspéré de ne rien devoir faire, mes en offrant mon aide, c'était trop beau pour lui. Il ne pu reffusé cela. Par contre, il me redonna mon argent. Je clignais la tête vers les deux fermiers, en signe de mon départ. Complétement faux en ce qu'il me concerne. Mais je savais que la fille ne pouvait plus rien dire après mes excuses et mes offrandes. Parfait !

Solene en resta muette, tout ça était im-po-ssi-ble, cette fille qui l'insultait ouvertement il y a quelques minutes, lui demandait de la pardonner?! La pa-r-do-ner??? Eh bien, Solene en était contente, sans doute tout cela cachait quelque chose, mais, pour l'instant, elle avait la satisfaction qu'elle ait baissé sa garde, qu'elle se soit escusée, qu'elle... Ait abandonnée la partie, tout simplement.
"A vous aussi je dois quelques éxplications. Je suis sincérement désolé d'avoir insulter votre vie. Ce n'était qu'une réaction naturelle sur ce que j'ai apperçue cette après-midi... Je crains pas avoir pu retenir la colère qui flottait dans mon corps, mon chèr, c'est dont pour ça que je vous offre ces tissus en signe de pardon. "
Voilà qu'elle s'escusait même à son beau-père, la soirée aurait pû être parfaite mais non, c'aurait été trop beau, il fallait qu'elle s'escuse auprès d'Orlando, pff, l'idée de déménager n'était pas si mauvaise en fait...

Solene regarda ce dernier, il faisait presque les yeux doux à cette Cillian! Non, mais...! Il tourna ensuite son regard vers Solene, il y avait de la rage, de la colère, on se demandait presque si ce n'était pas cette chère Cillian sa belle-fille! Justement cette dernière était partie chercher les robes, il y en avait de très belles effectivement. Solene se tourna vers le marchant, un peu honteuse:
-Escusez-moi pour ce désagrément, ma journée de travail était stressante, enfin... Je n'ai pas d'escuses... Je voulais juste vous dire que je suis désolée... Elle se tourna vers Cillian et parvint à articuler sans pour autant l'insulter, je voudrais vous présenter mes escuses a vous aussi, je pense que j'ai été un peu trop susceptible...

Après un moment d'hésitation, elle tendit sa main à Cillian. C'était elle qui avait commencé! Une idée vint germée dans son esprit, ne sachant pas que cette Cillian avait la même, si elle la faisait tomber par les sentiments...?
-J'espère pouvoir devenir ton amie, commenca-t-elle avec un sourire machiavélique qu'on aurait pu prendre pour gentil, et oulier ce léger... malentendu...