[ Avril ] test pour devenir niveau 2.

Citation :

" Ne serais-tu pas en train de dire que je ne suis pas digne de me nommer Assassin ? J'ai travaillé pour ce métier, j'ai tué ! Que sais-tu toi, de la vie qui se trame en dehors des murs douillets des bourgeois. Sais-tu seulement ce que c'est de n'avoir plus de parents et que ton seul espoir a été balayé ?! Que sais-tu donc, insolente ! "

Je restais ébahi devant ce qu'il venait de me dire... Je m'attendais à cette réaction certes mais certainement pas à ce point. Au début il avait juste semblé stupéfait par mes mots, sans doute l'effet de l'alcool, et là il s'était à moitié levé, ne sachant que faire. Moi non plus je ne savais pas quoi faire, si je restais là il me tuerais sans doute comme il l'avait sous-entendu.

Sachant qu'il s'apprêtait à me tuer à tout moment, je regardais autour de moi et vis tous les regards posé sur nous. Cet homme, Dalaïr je crois, venait de hurler qu'il était un assassin, et que si, on faisait un pas de travers il s'apprêtait à nous tuer tous, s'il le fallait. Sinon quand je repensais à ce qu'il m'avait dit, moi, une bourgeoise, moi, qui avait vécu pendant des années à voyager avec si peu de sous que l'ont étaient obligés de vivre dans des cabanes abandonnées et cassées. Certes mes parents étaient encore en vie mais quand il a fallut espérer, j'ai espéré, c'était ça son problème il croyait n'avoir plus aucun espoir de survie, son frère était son dernier sauveur et il venait de le perdre.

J'hésitais toujours lorsqu'il prit la parole :

" Je.. Je suis désolé, je ne voulais pas ... "

Mon caractère voulut qu'il soit sincère, que les effets de l'alcool soit encore présent mais maintenant quand il parlait tout devenait clair, même pas une phrase douteuse sur son état. Mais tout me disait aussi que si je ne partais pas, dès que je referais une gaffe, je paierais, ma vie ou autre chose...
Je ne pouvais pas non plus le laissé là, seul et pourtant c'était une question de vie ou de mort.

" Je.. Désolé .. Mais.. Je.. Je ne peux pas t'aider tant que tu ne veux recevoir aucune aide..."

Je me levai et m'apprêtai à partir.. Mais je changeai d'avis à la dernière minute, non, non, non, non ! Je ne pouvais pas le laisser là ! Je me rasseyais, le regardai bien dans les yeux, soupirai et me lançai :

" Bon d'accord, je suis désolé je n'aurais pas dû te dire ça s'était ... Nul. Bon pour me faire pardonnée , je sais qu'il y a un cirque, le C.I.L, ce sont les abréviations car le nom est assez long, je n'en n'ai plus la moindre idée , ça te dirais de faire un tour, il parait que ça va être énorme et puis à mon avis on sera plus tranquille pour parler."

J'insistai bien sur le coup d'œil aux alentours de la table et attendis.

Laola courait dans la nuit, s'enfuyait pour être plus exact, elle pleurait tellement qu'elle ne pouvait plus rien reconnaitre.Quel était ce monde qui la punissait sans arrêt? Qui étaient ses hommes qui se croyaient tout permis? Pourquoi elle? Après tout elle n'avait rien demandé ! Ses hommes lui avaient tout pris, ses parents il y a 3 ans et maintenant sa tante, son oncle et ses cousins et cousines... Elle voulait retrouver sa sœur, car elle n'était pas encore morte, non, juste prisonnière !

Laola s'arrêta, maintenant il ne la retrouverait plus, elle avait 5 minutes devant soit, il fallait qu'elle reprenne son souffle, oui avant de reprendre sa course. Elle n'avait plus aucune famille, pourtant elle devait fuir, c'était une question de vie ou de mort. Elle devait allée le plus loin possible mais, où?!

Laola Jones, fille de Pierre et Laura Jones, sœur jumelle de Lilas Jones avait tellement souffert c'est trois dernières années, mais pourquoi elle?! Qu'avait-elle fait ?! Elle était épuisé et avait terriblement faim mais elle devait reprendre sa course, tout de suite. Elle reprit donc son combat, elle courut reprenant son souffle de temps à autre.

Il fut juste un moment où elle s'arrêta à gauche il y avait la forêt, à droite la ville. Elle regarda le ciel, le jour commençait déjà à se lever, les gens iraient tout droit au marché dans quelques minutes, trente pas plus. Dans la forêt personne ne serait là, elle serait seule et tranquille, sa course serait peut-être plus dure mais au fond elle voulait allée dans la forêt. Que dirait les gens qui la verrait, ses vêtements était en lambeaux, et sa peau était pleine d'écorchures, de blessures et de sang. Non elle irait dans la forêt, elle la regarda, fière et immense et elle eu peur.

Soudain, elle eut l'impression d'être fixé et partit en courant dans la forêt, les arbres étaient très proches, les espaces très étroits, elle eut du mal à courir mais plus elle s'avançait plus elle s'habituait et plus elle courait vite. Elle courut ainsi toute la journée, sans boire ni manger malgré la chaleur épuisante et lourde. Elle s'arrêta brusquement, elle n'en pouvait plus, elle se remit à pleurer, à 16 ans, on ne pouvait pas mériter ça, non on ne pouvait pas. Elle dressa l'oreille et cru entendre un bruit, seulement la fatigue la consuma totalement et elle s'endormit ainsi, seule et épuisée.

Les personnages :

Spoiler:

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Dans le monde où on vie, il n’y a pas de terre ferme. Notre terre contient milliers d’îles, liées que par la mer. La plupart des gens ne quittent jamais leurs îles, car la mer est pleine de dangers. Si ce ne sont pas les créatures qui rodent dedans, c’est les pirates qui vivent sur les vagues. Car

, on vit dans le temps révolutionnaire des pirates. Les Marines font de leur mieux pour garder les rebelles hors des villages innocents où le peuple domicile, mais ceci n’est pas une tache facile. Nombreux de pirates on trouvé les « Devil fruits » sur leur route. Des fruits diaboliques venus de l’enfer qui offre un pouvoir incroyable au mangeur. Ces fruits sont rares – et pas trouver partout. On ne sait pas d’où ils viennent, ni où on les trouve. Ceux qui les ont les vendent, de peur d’être tenté par le fruit et de devoir vivre avec un pouvoir bizarre. (On a déjà retrouvé des hommes girafes ou des capitaines avec un bec d'oiseau - et oui, qui a dit que le pouvoir qu'on obtiendrait serait cool?). Aujourd’hui, c’est sûr que quand on en mange un, on devient pirate ou Marine. Ainsi on sera enfin finaliser la bataille entre pirates et Marines et commencer un nouvel âge. L'âge du peuple.

Moi, Mao Morgenstern, j’ai aussi mangé un de ces fruits. Mon père, étant pirate, l’a acheté en espérant de devenir un capitaine invisible. Mais comme il avait l’habitude d’oublier tout partout, et que le stresse d’un nouveau père était qu’un lourd fardeau, il a fait une grande bêtise. Sa fille (moi) n’avait que trois ans – criant de faim – quand il a accidentellement écrasé le « Devil Fruit » en purée et l’a donné à manger à sa fille. Ce n’est qu’en voyant le changement dans son bambin, qu’il aperçu son erreur. Encore un fruit de gaspiller.

Enfin, cette erreur n’était pas que du gaspillage, pensais-je, en voyant la taille de mon bateau et de mon équipage. On était 5 ans plus tard, et j’étais nommé la capitaine la plus jeune du monde. Mao Morgenstern, fille du grand capitaine Morgenstern, l’élite pirate de son « Winged Crew ». En levant ma tête, je notais que notre drapeau était toujours trop petit comparé à l’immense bateau qu’on avait hérité. Pas question de voir la tête de mort avec deux ailes accroché au crane, d’une île lointaine. On aurait besoin des jumelles pour voir…

Pourquoi les deux ailes, tu dis ? N’est-ce pas logique ?! Tout le monde sait qu’un pirate a un truc dont il est fier. Si fier même, qu'il mourra un jour pour cet objet. C’est leur drapeau. Il est le symbole de leur équipe et signé par le truc le plus typique de l’équipage (en sorte, plutôt du capitaine). Chez les capitaines avec des pouvoirs de « Devil Fruits », le symbole était souvent traduit par ce pouvoir. Sinon par quelques choses d’autre. (Une jambe en bois, un chapeau de paille, une chic rose au gout de cerise, une moustache,…). Mon pouvoir « Devil Fruit » était mon symbole. On ne m’appela pas pour rien ‘Angelic Morgenstern’. Mon pouvoir d’ange aidait beaucoup.

Mais bon, assez parler de n'importe quoi! Ca faisait déjà deux semaines que j’avais envoyé une équipe de 25 d’aller chercher une jeune fille qui m’intéressais. Je n’étais pas sûre qu’elle savait pourquoi, mais les explications n’avaient qu’à venir plus tard. D’abord, je voulais la voir sur mon navire. Le seul problème c’était que mon équipe ne m’avait pas encore montré un seule signe de vie. S’il n’arriverait pas à la capturer – ma foi, je leur jetterais dans l’eau.

« Uh… Cap’tain, » quelqu’un derrière moi demanda mon attention. On entendant sa voix, c’était sûr qu’il essayait de ne pas me fâché – en posant sa question le plus doucement possible. « Nous sommes presque arrivé à l’île. Souhaitez-vous qu’on baisse l’ancre ? On est assez prêt de l’île pour monter à terre avec les barques… »

En me tournant, je ne pus m’empêcher de foudroyer l’homme qui m’avait adressé du regard. C’était un des insignifiants de mon équipage. Un aide de rien. Comment je le savais ? Premièrement, je ne l’avais encore jamais vu. Deuxièmement, il était assez stresser en me voyant. Et pour finir, il n’avait aucune idée comment m’adresser. C’était

!

C’est bien pour cette raison là que j’ouvert ma bouche et faisait sortir un mot qu’allait changer sa courte, courte, très courte vie : « Hayai... »

Ca n’avait même pas durée un centième d’une seconde, ou un ombre noir apparu au dessus de l’homme insignifiant. Cet ombre atterri avec tel vitesse sur mon équipé, qu’il fut écrasé par l’ombre. Son cerveau était par terre en

. Puh! Les autres insignifiants pourraient nettoyer ce tas de sang plus tard.

« C’est Mao-sama, espèce d’abruti. » disait-il avec la tête baisé, accroupi sur le corps de mon ancien équipé.

« Merci, Hayai. » souriais-je avec le plus petit sourire et les plus grand yeux que je puisse avoir.

Hayai, mon équipier le plus noble de tous – le second capitaine. Lui aussi avait eu la chance de goûter à ce fruit du diable. Il avait été rebaptisé Hayai – ce qui signifie vitesse – après d'avoir découvert son pouvoir.
Ah, mon fidèle Hayai. Y-a-t-il donc que toi que je puisse faire confiance ? Si mes 25 collègues pirates n’arrivent pas à trouver cette fillette… serais-je donc obligé de t’envoyer toi ?

Si c’est le cas…

Spoiler:

Les rayons du soleil réveillèrent Laola qui ne mit que quelques secondes pour se rappeler le pourquoi des larmes sur ses joues mais également du bruit entendu avant de s'écrouler de fatigue. Laola se leva donc précipitamment regarda les alentours avant de s'allonger par terre et de respirer profondément. Où pourrait elle aller maintenant?? Elle était perdue dans la forêt, seule. Son ventre protestait contre des heures d'efforts sans rien mangé.

Laola sentit les gouttes d'eau couler le long de ses joues. Elle se dit tout d'abord qu'elle pleurait, puis quand un torrent d'eau se mit à couler elle se rendit compte que les gouttes d'eau étaient composé de pluie et de pleurs. Un orage se préparait au dessus de sa tête. Elle se leva et chercha des yeux endroit où s'abriter mais la forêt était bien trop épaisse pour voir quoique ce soit.

Elle se mit à essayer de boire l'eau déversée par la pluie sans beaucoup de résultat. Puis avec le peu de force qu'il lui restait elle marcha le plus vite possible mais elle trébucha et s'étala de tout son long. Elle se releva encore plus difficilement et vit une petite maison avec un air plutôt macabre. Laola entendit des bruissements de feuilles et des pas derrière elle, elle prit peur et se précipita vers la porte, l'ouvrit et ...

Spoiler:

« Pomme-pomme-pon, » chanta-il. « pomme-pomme-pain. Petite pomme de terre dans ma main. Pomme-pomme-pon, pomme-pomme-pain. Je te mangerai quand j’aurai faim. »

Le vieil homme s’arrêta un moment pour inspecter la pomme de terre qu’il venait d’éplucher. Ici et là des petites tâches brunes restèrent. * Quel honte ! * pensa-t-il en grimaçant. Quelques dents jaunes et brunes apparurent en levant ses lèvres pour sourire. C’était clair qu’il ne prenait pas soin de lui-même. Mais il n’était pas vraiment le type d’homme de faire ça. Tellement éloigné du village, il n’y avait pratiquement personne qui le voyait de toute manière. En plus, il n’avait pas le temps – ni l’envie – d’aller jusqu’au village pour aller acheter du savon. Du savon qui, pour s’expliqué, était encore plus cher que des pomme-de-terres ! Et si cet homme n’avait pas de pomme-de-terres, il n’avait pas de vie. Car ces pomme-de-terres… il les mangeas. Et sans manger, on meurt. De faim. Donc il avait besoin des pommes-de-terres.

Les gens du village l’avaient trouvé bizarre. Ils s’avaient éloigné de lui – ou lui il s’avait éloigné d’eux. Personne ne le savait. Personne n’avait besoin de savoir. Ca n’intéressait personne. Le village était content, le vieillard était content. Tant mieux pour tout le monde.

Etant encore plus jeune, une décennie passée, il avait trouvé l’endroit parfait pour construire sa cabane. C’était quelque part dans les bois – où les arbres formaient un demi-cercle. Il y avait un ruisseau derrière – pour l’eau qui servait à nettoyer les pommes-de-terres. Assez de bois – pour construire sa cabane. Plus loin une grotte – pour les orages, car sa cabane n’était pas très stabile. Pleins de plantes – si il était malade. Des animaux – pour se nourrir. Et pour finir la liste, il y avait des pommes-de-terres qui poussaient devant sa maison.
Il n’avait aucune idée comment ils étaient venu là-bas. Si on pensait logiquement, c’était impossible pour des pommes-de-terres de pousse là. Mais comme le vieillard avait abandonné tout ce qui était logique depuis longtemps, il avait haussé les épaules et récolté son trésor. Depuis, tout les matins, ils s’avaient ‘cueillir’ des patates. Et il continua sa vie.

La dernière fois qu’il avait eu de la visite, fus–

Il n’eu jamais de visite.

C’est pour ça qu’il était étonné quand une créature bizarre rentra dans sa maisonnette.

« Pomme-pomme-pon, » il continua. « pomme-pomme-pain. Petite pomme de terre dans ma main. Pomme-pomme-pon, pomme-pomme-pain. Je te mangerai quand j’ai faim. »

Et il jeta une nouvelle patate dans l’eau.

***

Entre temps

Je n’aime pas le sable. C’est pour ça que Hayai m’avait porté sur ces épaules pour la longueur de la plage. Enfin, c’était le plan. Pour finir il me portait toujours sur ces épaules. Ce n’est pas comme si je pesais une tonne – et ce n’est pas comme s’il était faible. Donc il ne se posait pas de questions quand j’avais décidé de rester la haut, même si on marchait déjà sur la terre plus ferme qu’avant.

L’île avait un air bizarre. Ca ne sentait pas comme il fallait.
Plus loin j’aperçu de la fumer monter au dessus des champs. Il y avait sûrement un village par là. Est-ce que la fillette aurait-elle couru par là ? Ou plutôt par l’autre bout – dans les bois ?

« Tu me déposes par terre ? » demandais-je finalement.

Ainsi dit, ainsi fait. En marchant tellement (enfin… en étant porter tellement), j’avais reçu un petit creux.

« Qu’on pause ici ! » ordonnais-je à mon équipe.

Les hommes se réjouissaient. La bière, le porc, un grand feu,… rien de mieux qu’une petite fête.
Et moi, j’aurais le temps de réfléchir.

Spoiler:

Laola se plaqua contre la porte, terrifiée, elle se demanda qui était cet homme qui habitait en pleine forêt, qui ne sortait pas de cette forêt, car un homme de cet apparence se serait fait remarqué en ville, hors Laola ne l'avait jamais vu trainer dans les parages. Laola regarda plus intensément l'homme qui chantonnait tranquillement, n'ayant pas l'air de remarquer la présence de la jeune fille dans sa demeure, il épluchait des pomme de terres, l'air joyeux.

Son visage était couvert de terre, ses vêtements n'étais que des morceaux de tissus vaguement décorés, en lambeau et sale, terreux comme son visage. Ses mains étaient coupé à quelques endroits comme si sa vie au milieu de la forêt se ressentait sur lui. Il était brouillon et sale. Ses dents étaient jaunes et très inégales. Il vivait vraiment comme un sauvage, la différence entre Laola et cet homme était vraiment risible.

Laola prit alors son courage à deux mains, elle respira à fond. Réfléchit à peine quelques secondes. Elle s'avança dans la pièce, une planche grinça sous ses pieds elle eut peur l'espace d'un instant et se ressaisit à tout moment ses adversaires pouvaient la trouver elle eut alors une pensée étrange .. Comment cela faisait-il qu'il ne l'avait pas encore attrapée alors qu'elle était à découvert tout ce temps ?! .. Elle effaça cette pensée et s'avança encore plus dans la pièce, s'arrêta et prit la parole :

" Je suis désolé de m'introduire ainsi chez vous mais .. J'ai besoins d'aide des hommes veu.."

La porte derrière elle grinça, une bouffé de panique l'envahit, puis un frisson qui n'était pas dû au froid la traversa. Elle se leva et termina sa phrase dans un murmure :

"...lent ma mort"

Elle se retourna alors et vit un homme dans l'encadrement de la porte, un homme avait-elle dit ?! Non il ne ressemblait pas à un humain mais .. à un tueur. Elle se demanda combien étaient-ils comme ça ? La panique lui coupa le souffle et inconsciemment, elle recula jusqu'au fond de la cabane, trébucha, tomba à terre, et rasa le mur de la cabane, jusqu'à ce qu'elle sombre dans le noir. Oui, elle s'était bien évanouie.

Spoiler:

Il se leva, pomme de terre dans la main, en dansant autour de son convive. Avec un sourire atroce (les dents n’avaient pas encore pousser entre temps) il lâcha quelques bruits bizarre qui ressemblaient aux bruits qu’un chat ferait en avalant une mouche. Mais il ne l’entendait pas.

« Mais non, mais non, pomme-pomme-pon, chère petite femme, on ne s’introduit jamais chez le vieillard. Je dirais même plus, pomme-pomme-pus, assieds toi, repose tes pieds, laisse moi chanté et reste très tard ! » il continua en chantonnant.

En galopant à travers de la maison, il agita ses bras d’une manière hystérique, ce qui pourrait effrayé la plupart des gens normaux. Mais ce n’était pas le pire. Le pire c’était sûrement son rire spastique. Moitié mélodie, moitié bruit – mais pas ressemblant à un rire du tout. Il était tellement occupé avec sa joie et ses danses bizarres, qu’il n’aperçu pas qu’il y avait encore plus de visite.

Un grand homme musclé, plutôt avec l’air débile, avait bousculé la porte avec une force brusque, ce qui avait causé un grand trou dans le mur. Le vent doux passait à travers les cheveux – non, à travers la barbe du vieillard. Etonné il se tourna.

« Brouhaha, pomme-ti-pa ! Le vieillard il est content ! Brouraroum, pomme-ti-poum, même s’il a perdu toutes ses dents. Encore de la visite dans ma cabane, si noble mais si petite. Alors entrer, entrer, asseyez-vous et célébrons vite, vite, vite ! »

Le totale de trois musclés n’effrayait pas l’homme du tout. Tout ce qui l’effrayait, c’était les oiseaux. Ca vole et ça vole, et ça s’enfuis. En plus, ça laissait des traces blanches partout où ça passait. Non. Il n’aimait pas les oiseaux. Les pif-pifs, il les surnommait. Pif-pifs, parce que c’est ça que fait le bruit des ailes. Pif-pif-pif.

Les trois robustes s’avaient incrusté dans la cabane. L’un encore plus content de voir une fillette – maintenant au pays des pif-pifs – assommé par terre que l’autre. Des éclaireurs. Pas que le vieillard l’avait remarquer. Lui, il était trop occupés à sortir ces verres improvisés des planches également improvisés de sa cuisine – oui, vous le devinez – improvisé. Il jeta 5 verres sur la table en bois, qui basculait dans tout les sens, et versa un liquide étrange et suspect dans les cinq verres. Il veilla à ce qu’il y avait un niveau égales dans les verres différents (sans comptant la logique des volumes différents). C’était pour ces hôtes d’honneurs !

En voyant les futurs malfaiteurs, chaque idi*t devrait savoir qu’ils n’étaient pas la pour boire. Mais le vieillard était persuasive (même en rimant). En secouant les épaules, celui qui ressemblait être leur ‘Boss’ donnait son accord pour une gorger. Après le kampai, les verres (tous sauf un) se joignis aux lèvres des buveurs. En tirant des sales têtes, le liquide était bu.

Quelques moments plus tard, une scène encore inaperçu sur cette terre, apparaissait. Le vieillard n’étaient plus seule maintenant… car les trois gros obstacles l’avait vite suivit dans son délire. A quatre, ils chantaient, dansaient et buvaient encore. Mais le vieillard n’avait pas oublié la petite fille. Il prenait le verre qu’il avait préparé pour son première invité tant tôt et dansa vers l’inconsciente.

« Ouvre la bou-bouche, pomme-pelouche, ceci te réveillera ! Tu danseras avec nous, pomme-payoux, en haut et puis en bas. Hahaha ! »

Avec le sourire sans dents, il versa le liquide brûlant, baveux, dégoûtant, mais très marrant entre les lèvres de la fille. Il n’aimait pas son odeur. Elle puait le pif-pif.

Laola se réveilla quelques secondes plus tard en sursaut mais personne ne vit le réveil de la jeune fille. Elle se redressa quelque peu, légèrement endormie, regardant la scène d'un œil à peine entrouvert pour ne pas que les autres personnes dans la pièce ne s'en rende compte. Elle détailla alors vite fait - bien fait - ce qui se passait dans cette petite cabane délabré ...

Elle vit les trois hommes et alors elle frissonna. Ils avaient l'air un peu bêtes mais très dangereux. Très grands, l'allure vive et impressionnante. Elle comprit alors que le vieillard pouvait la protéger aisément ils ne verraient rien. Elle se sentit alors très soulagée jusqu'au moment où le vieil homme leur proposa de boire en insistant beaucoup. Laola se demanda ce que le vieil homme faisait mais les autres contraints et forcés - vraiment très bêtes car ils auraient pu aisément refusé - acceptèrent et burent d'une traite leurs verres.

Le changement de situation fut alors risible et inquiétant. Les hommes se mirent à danser et chanter gaiment comme le vieil homme. Laola se plaqua alors contre le mur mais se dépêcha de refermer les yeux quand l'homme s'approcha d'elle avec un verre et lui fit boire. Elle garda le tout dans sa bouche - il lui fit boire par gorgée - et fut consciente de n'avoir que quelques secondes pour réagir.

Elle fit mine de se réveillé, recracha le contenu sur l'homme prit le verre lui jeta à la figure. Les morceaux de verres se brisèrent alors. Mais elle ne regarda pas le vieil homme à terre, sachant que les autres étaient encore là. Elle se précipita alors sur le couteau que l'homme avait prit pour éplucher ses pommes de terre et le brandit en avant, essayant d'effacer les tremblements qui la parcouraient. Essaya de prendre une voix assuré et prononça quelques mots :

" Maintenant c'est finit ! Arrêtez ça !! "

Sa voix fut faible mais plutôt assuré. Elle se demandait que faire alors.. Elle recula mais en regardant les hommes toujours debout elle toucha alors la poignée se retourna, tenant toujours fermement le couteau dans sa main, ouvrit la porte et alors qu'elle allait la franchir, elle sentit une grande douleur la saisir. Elle s'écroula à terre en se demandant bien ce qui s'était passé et ce qu'était cette chose qui lui faisait si mal au dos...

Sa main se souleva et sentit quelque chose de coupant enfoncé dans son dos, lui entailler le doigt. Elle l'enleva avec un cri de douleur, son dos la faisait souffrir horriblement. Mais elle rassembla ses forces se mit sur le dos et regarda l'objet dans sa main ... un bout de verre. Elle supposa que c'était l'acte du vieillard mais elle se demanda aussi - et surtout - si elle ne s'était pas - en partie - trompé de méchant...

Spoiler:

Il avait les cheveux d’une couleur assez rare. La cause était un secret qu’il avait gardé pour plus de 10 ans. Et ce n’était pas une teinture… si tu supposais que ce l’était. Ah non ! Mystère, mystère. Mais sa chevelure était la seule chose qui le distinguait du monde normal. Autrement, il avait des yeux assez normaux, une taille moyenne, un âge sans importance et un nom débile. Non. Rien d’intéressant par-là.

Ca lui avait pris pas mal de temps de retrouver son chemin dans la forêt. Il avait perdu la route en cherchant. C’est pour cette raison qu’il était arriver devant la petite cabane en bois. Une maison (enfin… maison. Ca ressemblait plus à une case d’oiseau) signifiait de la vie humaine et de la vie humaine voulait dire le moyen de sortir d’ici. Contenté de pouvoir sortir de cet enfer de labyrinthe, Momo (Quoi ? Je vous avais prévenu qu’il avait un nom débile !) se mit à marcher vers la porte de la cabane. Bon, d’accord. La porte n’avait plus vraiment de rôle à jouer, comme elle avait été arrachée par je-ne-sais-qui-mais-je-ne-veux-pas-le-rencontrer, ce qui résultait en un large trou dans le mur de la cabane. Momo avait l’impression de voir quelques ombres dans la maisonnette, mais ne fit rien. Tant mieux s’il y avait quelqu’un !

Ces plans avaient été détruit seulement quelques secondes après. Une fillette, qui avait l’air d’être une adolescente, tombait par terre en sortant de la maison. Elle poussa un crie surhumain, suivit de quelques mouvements bizarres. On dirait qu’elle cherchait un malfaiteur implanté dans son dos.
Deux secondes plus tard, un petit homme affreux – pas plus grand que la taille d’une table haute – se pencha vers la fillette. Momo se déplaça d’une telle manière que se serrait possible de distinguer ses paroles.

« Mais il ne faut pas courir, petite oiseau ! Je dois encore tu présenter mon jumeau ! Pomme-pomme-compote est son nom et il est maigre comme un bâton. Donc calme-toi, pif-pif, et rends-moi mon couteau, sinon je n’sais plus éplucher mes patates et c’est plus rigolo ! »

C’était clair qu’il n’avait plus été entre la population normal pendant un gros bout de temps. Le vieillard faisait pitié à Momo, mais quand il vu que ce n’était pas lui, mais un costard derrière son dos qui avait été la cause du mal de la fillette, il chargea vers la maison.

« Quels idiots ! » étaient ses mots.

Ca lui avait pris que quelques secondes. Sa main droite ramassait la fille qui se trouvait toujours par terre, et sa main gauche la balança sur ses épaules. Comme si c’était un sac à patate, il tenait seulement ses jambes et se mit à courir.

Lointain, il entendant encore les rires et les chants des vieux croûtons de la cabane, ce qui lui fit rire aussi. Ses jambes ne tenaient plus à cause des agissements de son rire, et il s’écroula par terre, en laissant tomber sa demoiselle en détresse. Le rire fut continuer encore quelques moment, jusqu’à ce qu’il se réalise que la fille était sûrement encore là – choquée par l’évènement.

« Tiens donc, petite » dit-il en lui regardant, « Comment as-tu trouvé ce voyage particulier ? Un peu brusque, je l’avoue bien, mais très rafraîchissant, n’est-ce pas ? »

Laola se se sentit soudain soulever et balancer contre l'épaule d'un homme la tête en bas elle retient un cri, elle avait légèrement le vertige et cette vue là n'était pas agréable, on aurait dit qu'elle pouvait s'écraser au sol à n'importe quel moment mais l'homme la maintenait bien au niveau des jambes - du moins il lui semblait - . Elle commençait à s'habituer au rythme de la course, 1, 2, 3, 1, 2, 3... puis soudain l'homme perdit son allure et la balança sur le sol.

Laola gémit légèrement, un cri à peine audible. Son dos ! L'homme prit la parole mais Laola ne capta que l'essentiel du genre : petite, course, rafraichissante, brusque ... Elle réfléchissait déjà elle en avait marre de devoir fuir mais là elle n'avait pas le choix, l'homme était plié de rire devant elle, ce qui lui facilitait la tache. Elle s'appuya donc contre un arbre, puisa dans le peu de force qui lui restait - sans boire ni mangé et blessé par dessus tout, les forces lui manquait grandement -, se releva, calcula si son idée était possible mais comme on disait qui ne tente rien n'a rien.

Elle commença par s'approcher de l'homme mais elle se retourna bien vite son ventre protestait, elle vomit, s'essuya avec sa manche puis se releva. Elle marcha de deux pas à peine réduisant l'écart entre elle et l'homme aux cheveux ... VIOLETS - si elle voyait bien - ?! Oh mon dieu quel horreur, elle cru avoir envie de vomir une deuxième fois mais se retint et plongea sur l'homme, son poing - faible - s'abattit sur le nez de l'homme, elle lui donna des coups de pieds et de poing partout où elle le pouvait puis elle s'arrêta se disant que c'était suffisant.

Elle se retourna et marcha vite, courir était vraiment une douleur énorme, elle marcha donc le plus vite possible mais tomba sur une racine d'un arbre et s'ouvrit le menton. Le sang se mit à couler encore et encore, elle se releva, s'essuya le menton et s'assit en tailleur, soudain un bruissement de feuilles retentit derrière elle, elle se retourna et cru que l'homme aux cheveux violets l'avait retrouvé... mais non.

C'était une femme... du moins elle supposait, elle n'en était pas sûre c'était la nuit et il faisait extrêmement sombre dans la forêt, elle cligna alors des yeux et ne vit plus la silhouette, elle regarda alors les alentours et ouvrit de grands yeux, surprise en voyant un visage à quelques centimètre du sien, Laola poussa alors un petit cri et se plaqua contre l'arbre. Elle regarda intensément la jeune femme - cette fois si elle en était sûre - les cheveux bruns, les grands yeux verts, se regard innocent et cette bouille de gamine. Elle n'allait rien lui faire de mal mais Laola allait sans doute l'amener dans les ennuis. Puis elle posa deux questions simples et claires :

" Qui es-tu ?! Que fais-tu là ?! "

Elle n’avait pas été surprise de voir une fille moitié-démoli dans une forêt abandonnée, mais elle n’était pas contente de voir quelqu’un. Même dans le village elle était connue pour sa misanthropie.

« Qui suis-je ? Moi-même. Où vais-je ? Nulle part. » disait-elle avant de disparaître entre les arbres.

Et on ne l’a plus jamais vu.

Momo par contre, avait retrouvé sa route. Ce n’était pas dure de retrouver la fillette. Il n’avait qu’à suivre les traces dans la terre. Elle n’avait pas fait attention à où elle marchait, donc la forêt parlait à sa place. Gauche, droite. Entre les arbres. A travers des buissons. Au-dessus du rocher. Bref. Tout son parcourt. Le jeune homme leva la tête. Le soleil était toujours haut. Très logique sur cette île, comme cela en était une qui se trouvait dans le South Blue. Les mers infinies du soleil.

Il était beau le soleil. Rond, jaune et brûlant. Même si la plupart du temps les couronnes d’arbres cachaient la créature magnifique, on sentait sa chaleur. Momo transpirait. Il avait trop ris. Même quand la fille-fille avait essayé de le tabasser, ça avait été impossible de se retenir. Les coups de points faisaient des chatouilles. Et Momo – était chatouilleux.

Il avait tenté de dire :

Frappes-tu toujours tes sauveurs ?

Mais seule les :

Hahaha ! Héhéhé ! Hihihi ! Hohoho ! Huhuhu !

étaient distinguable.

Dommage, dommage.

Heureusement que le soleil était beau. Les nuages aussi ils étaient sympas. On voyait des formes différentes si on regardait bien. Toutes ces formes étaient faciles à diviser en plusieurs groupes. Il y avait les animaux ; vaches, chats (il en avait vu deux, des chats), souris, girafes, crocodiles, fourmis, éléphants, rhinocéros. Puis, on trouvait les objets non-vivants ; bateaux, lits, savons, armes à feus, verres de bière, verres de vin, verres tout cours, nuages (oui, je sais, mais les cliché ! Ceux que les bambins dessinent dans le sable). Aussi les objets vivants, mais on n’est pas sûr qu’ils sont vraiment vivants : fleurs, feuilles, étoiles, grains de sables, goûtes d’eau, un gros caca, flocons de neiges. Et pour finir, il y avait les personnes ; moi, une belle demoiselle, un vieux capitaine, un enfant avec des tresses, un monstre, encore un monstre, encore un monstre, des monstres.

* Ah tiens, la voilà ! * pensa-t-il soudainement. * Quel bonheur ! *

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