Siparti Casseuse d'oeufs (modo)
Prénom (vrai) : 0 Age : 44 Nombre de messages : 1117 Lieu : 0
Date d'inscription : 15/12/2007
Jeu De Rôle Personnage KOM: Shiro Dagher Personnage NM: Aspen Madden
| Sujet: Contemporain : When dreams come true [PV Lynias] [en cours] Jeu 24 Déc - 2:54 | |
| Mon personnage: - Spoiler:
« Marmaduke (Duke) Cade »
– … et l’ombre aux yeux rouges se redressa quand je le poignardai avec mes dagues ninjas. Tous ce qui resta pour prouver que cette créature avait réellement existé, était le tas de poussières noir brillant sur le béton. Comme d’habitude. Je m’étais redressé, pour tuer le reste des monstres. Comme leur grand chef était déjà mort, c’était facile de les tuer. Enfin… ça allait plus vite, quoi. Un moment, j’avais perdu ma dague, mais elle a vite été remplacée par celle attaché à ma ceinture. Je crois qu’il y en avait cinq… de dagues. Mais je ne suis plus sûr. Ca devient plus dur de s’en rappeler, maintenant que mes rêves restent se ressembler. Mais bon… Donc : les petits crapules étaient vite éliminés. Et cette fois-ci, je ne me suis pas blesser. Je n’avais qu’une petite égratignure sur la joue. Mais en tout cas, j’étais trop balaise ! Balaise du genre – Final Fantasy. Ouais. Un peu comme ça. Et bien sûr, quand j’avais sécurisé la ville, y’avait la fille qu– « Marmaduke ! » –qui arrivait. Comme toujours, elle portait son petit truc là… bref. Ouais. Et tout les villageois (et la fille) leurs yeux on avait l’impression qui brillaient. C’était immense ! La fille (j’ai toujours pas capté son nom) elle me remercia, et m’invita chez elle, pour fêter la liberté, mais je m’excu– « Marmaduke, bon sang ! » Une main frappa sur ma porte avec une violence pas possible. « Ca fait vingt minutes que je t’appelle ! Tu vas venir en retard à l’école ! J’espère pour toi que la raison que tu t’enfermes dans ta chambre c’est pour étudier, et pas pour les cochonneries, sinon je vais devoir appeler ton père. » Et patati et patata. Non mais franchement ? Elle me prenait pour quoi, cette femme ? J’ai d’autres trucs à faires que des ‘cochonneries’. Et puis, il allait faire quoi mon père ? Le speech typique de comment maman dit n’importe quoi et que tout est absolument naturel et que c’est logique qu’un homme veut… Oh et puis quoi encore ?! Sérieusement… le jour où Cam aura ces 14 ans – dans six ans – il pourrai me faire un coup de fil. J’lui donnerai le speech à la place de mon père. « Roooh, M’man. J’t’ai déjà dit cinquante mille fois de m’appeler Duke ! Et puis j’arrive. T’inquiète. » « Mais si je m’inquiète ! Franchement… la jeunesse. » Quand j’entendais ces forts pas descendre des escaliers à la gauche de ma chambre, je savais que c’était fini pour le moment. Tant pis. J’avais qu’à finir ce boulot après l’école. Si jamais je m’en souvenais encore.
Et oui, ça fait déjà sept ans que j’écris mes rêves. J’avais commencé avec l’idée d’un jour crée une bande-dessinée avec mes idées. Mais nous voici sept ans plus tard – j’ai 18 ans maintenant – et j’ai que des brouillons dans mes fardes à dessins. Je bloquais pas mal au scénario, ce qui m’énervait beaucoup. Aujourd’hui, j’ai toujours le même rêve. Le rêve de devenir scénariste et illustrateur de ma propre BD. Mais ce rêve (« L’univers de Garmid » c’est ça le nom de ma BD) à été placé dans un des milliers cassiers de ma tête, étant donné que pour passer à une université professionnel, il fallait que j’ai des bons résultats. Et comme je ne suis pas née avec le don de tout connaître après l’avoir vu une fois, je dois travailler. C’est bien pour ça que – si on oublie les BD’s, les comics, les Marvels, les figurines, les brouillons chiffonné par terre, mes crayons et marqueurs, et les nombreux essaient de scénario – ma chambre est remplis de livre d’écoles ou de fardes. Mon bureau il était déjà assez rempli avec mon ordinateur portable et puis tout mon brol de dessin. Au moins, quand je serais un pro, j’aurais une chambre plus organisé. Enfin… je l’espérais bien.
Ma mère fit encore une fois appel à moi, quand je fermais enfin mon cahier. Mes doigts reposaient encore une fois sur le grand chiffre « 33 » qu’avait marqués dessus. Mon 33ème cahier… Environ cinq par année. Pas mal, quand même ?
Bon, où sont mes affaires ?
Après avoir rangé mon sac à dos, je descendis brusquement. Une scène typique apparu : Cam, mon p’tit frère, était assis sur la chaise au bout à droite en mangeant ses céréales Rice Krispies ; puis on avait mon père qui était à l’autre bout de table, en buvant du café (noir, sans sucre) et en visionnant le journal. Ses pieds tapaient par terre d’un air nerveux, comme s’il savait qu’il allait encore venir en retard à son boulot ; ma mère, elle, dans la cuisine entrain de fabriquer une de ces merveilles. J’allais m’installer au côté gauche de Cam et me servit du toast qui était étalé sur la table. ‘Un bon déjeuner est important pour le cerveau !’ disait une image de ma mère dans ma tête. L’omelette, enfin fini, fut placer au dessus du toast et j’ai pu commencer. « Cameron, mange avec ta bouche fermé s’il te plaît ! » gronda ma mère. Le gamin me lança d’abord un regard, du genre ‘Qu’est-ce que ferais mon frère ?’, mais quand je lui en relançai un *Fait comme elle te dit, espèce de casse-cou. Faire le débile c’est derrière son dos* il obéit à ma mère. Bien fait.
C’est qu’en remarquant l’horloge au dessus de la porte de cuisine que je commençais vraiment à me presser. J’allais être en retard comme ça ! Mon toast avait disparu en 4 bouché et un coup de jus d’orange. En prenant mon sac, je filais encore un petit coup de démolisseur-de-cheveux sur le crane de Cam et puis je m’en allais. Enfin… si une voix ne m’empêchais pas. « Et mon baiser ?! » « Erf, M’man… Je vais être en retard. » * Pas vrai, j’ai encore pleins de temps mais j’ai 18 ans. On fait plus ça à mon âge…* « Atata ! Si jamais tu te fais écraser par une voiture, je le regretterais pour le reste de ma vie. » disait-elle en signalant sa joue avec son doigt. En roulant des yeux, je lui en donner un vite-fait avant d’enfin sortir dans la rue.
L’école n’était pas si loin. Je décidai donc de faire un petit chemin de détour et d’aller sonner chez Arnaud pour voir s’il se décidait d’aller à l’école aujourd’hui. On ne savait jamais… | |
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