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| Après une longue journée de voyage... [fini] | |
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Siparti Casseuse d'oeufs (modo)
Prénom (vrai) : 0 Age : 44 Nombre de messages : 1117 Lieu : 0
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Jeu De Rôle Personnage KOM: Shiro Dagher Personnage NM: Aspen Madden
| Sujet: Après une longue journée de voyage... [fini] Sam 14 Fév - 22:13 | |
| [ Suite de ce sujet] Après d’avoir descellé Dreck, et l’avoir mit dans son box, je rejoignis le garde et Eléanora. Ils étaient tous les deux entrains d’observer le cheval d’Eléanora, sans dire un mot. Je ne m’inquiétais pas trop et demanda au garde où l’auberge se situait sans me concerner de quelque chose d’autre. « L’auberge? Ah! Je vais vous montrez. » parla le garde. « L’aubergiste est un jeune homme très aimé ici, vous savez. C’est sûrement la meilleure auberge d’Alberta grâce à l’hospitalité qui règne là-bas. » Il marcha vers la sortie de l’écurie, et on le suivit. J’étais un peu étonné de découvrir que le bâtiment que le gardien nous montrait, était en fait juste à coté. Il aurait juste pu le dire, dans ce cas. Je ne crois pas qu’on s’aurait perdu aussi facilement que ça. Mais bon…
La façade de l’auberge avait la même couleur que le reste des maisons coller l’un à l’autre dans Alberta. Un beige presque jaune. La seule différence qu’on savait bien remarquer, c’était la planche en bois qui dépassait de la façade, juste çà côté de la porte. ‘Le Roulin Mouge’. Aucune image ne pouvait expliquer le nom de l’auberge, mais ce n’était pas vraiment nécessaire non plus. Les lettre du nom de l’auberge était déjà assez dessiné en étant comme ça. Bref. On entrèrent l’auberge par la grosse porte en bois - en passant au dessus de trois petites trappes - sans trop regarder de quoi comme auberge il s’agit vraiment. Du moment où je mis pieds à l’entrée du Roulin Mouge, mon estomac commença à grogner. L’odeur de porc servi avec une sauce de miel et vin, les chants des saouls à cause de la bonne bière, des gros bout de pain et saucissons, de la soupe aux champignons,… Un vrai repas. J’en avais marre de la viande séchée. J’avais faim! Je marchais instinctivement vers une table vide dans le coin profond de l’auberge et je m’y assis avec le dos contre le mur. Eléanora m’avait suivit - ce qui était logique - mais apparemment le garde - se tournant vers des gens en visant son regard droit dans leurs yeux - aussi. Je me demandais pourquoi… « Merci pour votre aide, mais on a plus besoin de vous pour le moment, M’sieur. » lui dis-je en signe de le faire partir quand il s‘arrêtait à notre table. « Ah, je… » commençait-il. « Oui, je… j’ai encore des trucs… la tour… je… - De rien. » Était-ce-moi ou avait-il l’air plus nerveux qu’avant? Une dizaine de minutes passées il avait raconté toute sa vie, et maintenant il craignait… quelque chose? Pas grave. Sans me faisant de soucis des regards mystérieux qui nous étaient lancé, j’attendis quelqu’un de venir nous aider. J’avais faim, bon sang! Corrections par Lynn :- Spoiler:
Après d’avoir dessellé (desceller : "défaire ce qui est scellé en brisant le sceau" et non "retirer la selle du dos d'un cheval) Dreck, et l’avoir mit dans son box, je rejoignis le garde et Eléanora. Ils étaient tous les deux entrains d’observer le cheval d’Eléanora, sans dire un mot. Je ne m’inquiétais pas trop et demanda (c'est bizarre, tu utilises un imparfait en début de phrase et un passé simple quelques mots plus loin. Plutôt mettre " je ne m'inquiétai " qui est le passé simple. Je crois que c'est ce que tu voulais faire.) au garde où l’auberge se situait sans me concerner de quelque chose d’autre. « L’auberge? Ah! Je vais vous montrer. » dit le garde. « L’aubergiste est un jeune homme très aimé ici, vous savez. C’est sûrement la meilleure auberge d’Alberta, grâce à l’hospitalité qui règne là-bas. » Il marcha vers la sortie de l’écurie, et on le suivit. J’étais un peu étonné de découvrir que le bâtiment que le gardien nous montrait (pas de virgule entre la P2 et le verbe de P1... 'fin bref pas de virgule) était en fait juste à coté. Il aurait juste pu le dire, dans ce cas. Je ne crois pas qu’on se serait perdu aussi facilement que ça. Mais bon…
La façade de l’auberge avait la même couleur que le reste des maisons collées les unes aux autres dans Alberta, un beige presque jaune. La seule différence qu’on savait bien remarquer (" qui se remarquait bien ") (pas de virgule) était la planche en bois qui dépassait de la façade, juste çà côté de la porte. ‘Le Roulin Mouge’. Aucune image ne pouvait expliquer ("illustrer" plutôt)le nom de l’auberge, mais ce n’était pas vraiment nécessaire non plus. Les lettre du nom de l’auberge (ça fait un peu long le " les lettres du nom de l'auberge" beaucoup de compléments du noms à la suite. Supprime les lettres : "Le nom de l'auberge était... ") était déjà assez dessiné en étant comme ça. Bref. On entrèrent (On = il = troisième personne du singulier. Terminaison -èrent = troisième personne du pluriel à l'indicatif passé simple. Donc incompatible. On entra ou Nous entrions - oui je sais c'est bizarre vu que dans ta tête on = plusieurs personnes. Mais la langue française veut ça) dans l’auberge par la grosse porte en bois - en passant au dessus de trois petites trappes (" en enjambant trois marches " fait plus jolie) - sans trop regarder de quoi comme auberge il s’agit vraiment (" de quel genre d'auberge " ou " à quoi ressemblait l'auberge "). Au moment où je mis pieds à l’entrée du Roulin Mouge, mon estomac commença à grogner. L’odeur de porc servi avec une sauce de miel et de vin, les chants des saouls à cause de la bonne bière, des gros bout de pain avec des saucissons, de la soupe aux champignons, … Un vrai repas. J’en avais marre de la viande séchée. J’avais faim! Je marchais instinctivement vers une table vide dans le coin profond de l’auberge et je m’y assis avec le dos contre le mur. Eléanora m’avait suivit - ce qui était logique - mais apparemment le garde - se tournant vers des gens en visant son regard droit dans leurs yeux - aussi. Je me demandais pourquoi… (pourquoi quoi ?) « Merci pour votre aide, mais on n'a plus besoin de vous pour le moment, M’sieur. » lui dis-je en signe de le faire partir (en général, le groupe "en signe de" est suivit d'un groupe nominal. Ex : en signe de reconnaissance.) quand il s‘arrêtait à notre table. « Ah, je… » commençait-il. « Oui, je… j’ai encore des trucs… la tour… je… - De rien. » Était-ce (pas de tiret) moi ou avait-il l’air plus nerveux qu’avant? Une dizaine de minutes passées ("il y avait une dizaine de minutes") il avait raconté toute sa vie, et maintenant il craignait… quelque chose? Pas grave. Sans me faisant de soucis des regards mystérieux qui nous étaient lancé, j’attendis quelqu’un de venir nous aider. J’avais faim, bon sang! Siparti: Bleeeeeeeeeh! I feel like a kid at school T.T It's not gonna get any better anyway - so better get used to it! I'll do my best, but this is as far as I can go. I hate all that red in those spoilers... makes me blind. Oh well... I'm not gonna let some mistakes get over my head and stop writing But you'll have to excuse me for the " , " errors. In dutch we use them a lot! So it's hard to see when I do - and don't - have to use them. Forgive me my dutch/english spoken mind. (At least no mistakes in this spoiler HAH!) Lynn : Je tiens quand même à rappeler que je ne corrige pas pour te faire sentir nulle ! Bien au contraire ! Je ferais pas mieux (eh... je ferais même pas un dixième de ça) en néerlandais ! C'est juste pour... t'expliquer ce qui va pas dans l'espoir que tu essayes de t'améliorer. Si tu veux que j'arrêtes, dis-le, et promis je dompterai mes pulsions correctrices pour pas que tu te sentes nulle (parce que t'es loin de l'être ! Pour cause : t'es la meilleure RPeuse du forum (je ne me compte pas dedans héhéhé) !)
Dernière édition par Siparti le Sam 21 Fév - 3:14, édité 1 fois | |
| | | Lynias L'impératrice (du poulailler)
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| Sujet: Re: Après une longue journée de voyage... [fini] Ven 20 Fév - 22:15 | |
| Lorsque j'eus fini de dépréparer ma jument, Shiro vint à nous (Logan et moi-même). Le garde était silencieux - enfin ! - et après une dernière caresse à ma jument - et un petit indice sur notre date d'arrivée pour payer la note à la fin de notre séjour - nous suivîmes le garde vers l'extérieur. Le soleil avait continué sa course contre la montre, et une bonne partie de l'astre devait déjà être enfuis sous terre, déduis-je en contemplant les zones d'ombres qui s'étendaient largement sur le sol pavé. Alberta était une ville calme et propre, si on excluait le cris des mouettes et l'odeur de poisson. Il devait être agréable d'y vivre. Du moins c'est ce que laissait à penser la partie superficielle de le ville côtière, celle que voyaient les voyageurs de passages.
Le garde ne nous emmena pas bien loin : nous nous arrêtâmes devant le bâtiment voisin aux écuries. Il ressemblait à tous les autres : même couleur, même porte brune, même petites marches à monter avant de parvenir à l'intérieur. Mais en aucun cas on n'aurait pu se tromper sur la fonction du bâtis : son entrée avait beau être de même couleur que les autres, elle n'en était pas moins deux fois plus large. Des petites fenêtres couvertes de buée laissaient transparaitre une lumière vive et les silhouette vagues qui voyageaient tant bien que mal à l'intérieur. Au dessus de l'entrée, une modeste mais harmonieuse enseigne indiquait le nom de l'auberge : le Roulin Mouge. Un nom original, qui me laissa de marbre.
Suivant toujours Logan, notre guide duquel nous aurions très bien pu nous passer, nous entrions dans le commerce. En cette nuit d'hiver qui tombait à peine, les lieux se remplissaient peu à peu et les plats chauds commençaient à tourner. Quelques tables restaient libre : celles des extrémités. Il faisait plus chaud dans le noyau central, où l'agglomération humaine et le feu qui se consumait dans une cheminée de pierre excellaient à réchauffer les citadins. Shiro se dirigea vers cette fameuse table de coin qui était quasi toujours libre dans les auberges. A croire que les habitués évitent expressément cette table pour la réserver aux voyageurs mystérieux : nous ! Sans accorder un regard au reste de l'auberge, mon compagnon de voyage se fraya un chemin entre tables et chaises. Fidèle à son habitude, celui-là ! Fidèle à la mienne, je me prêtai à un examen minutieux de la salle : environ une cinquantaines de personnes étaient assises - au bar, à table ou par terre près du feu - et trois personnes servaient vivement. Une homme semblait commander les autres : il était plutôt petit et très brun. Le plafond était bas, comme dans toutes les maisons de classes moyennes, et le sol était irrégulier et nu. Ajoutant à cela une odeur de fauve, de nourriture et d'alcool chaud, c'est une auberge tout ce qu'il y a de plus correcte et accueillante.
Shiro s'était déjà installé, et je tirai ma chaise pour m'asseoir à mon tour. Nos regards se croisèrent. Oui, nous nous demandions la même chose : pourquoi Logan nous suivait-il encore ? " Merci pour votre aide, mais on n'a plus besoin de vous pour le moment, M’sieur. " dit l'assassin d'un ton qui ne permettait pas qu'on le déçoive." Ah, je… Oui, je… j’ai encore des trucs… la tour… je… - De rien. " répondis Logan en se retournant.Je souris à Shiro en roulant des yeux. Oui, il faisait toujours de l'effet quand il employait ce ton sûr de lui, incontestablement poli mais très autoritaire. Je m'y étais habituée, depuis le temps ! Mais la réaction des autres personnes étaient souvent les mêmes.
Quelques minutes après que nous nous soyons installés, une rumeur sourde voyageait encore entre les Albertiens. Des regards en coins nous étaient lancés, et un groupe de gens à l'extrémité opposée de la pièce semblaient débattre activement de notre rang. Les Assassins n'étaient pas très répandus, mais à peu près tout le monde connaissait notre existence et nous reconnaissait à vue d'œil. Notre écharpe rouge était notre signe visible de distinction, mais aussi un collier d'honneur que nous portions fièrement. Et malgré l'usure et les déchirures dues au temps et aux aventures, elles ne perdront jamais pour moi leur splendeur et leur éclat.
Silencieusement installés à cette fameuse table de coin, nous commencions à nous impatienter. La faim faisait gronder mon ventre - ainsi que celui de Shiro, semblais-je entendre - et mes pieds s'impatientaient à pouvoir se plonger dans une bassine chaude ! Il nous fallait encore commander notre repas et réserver une chambre. Mais, habituée à attendre, je pris mon mal en patience jusqu'à ce que cet homme de taille moyenne et très brun qui semblait être le supérieur des autres vint à notre table. [Suivant : Renovatio] | |
| | | Renovatio Poule (au pot)
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| Sujet: Re: Après une longue journée de voyage... [fini] Sam 21 Fév - 0:28 | |
| Encore une longue soirée d'hiver en perspective dans ma taverne, mais que de monde y est attablé, non seulement, mes clients habitués séjournait ici mais en plus il y avait de gens de statuts respectables, se mettant bien au chaud à l'abri du gel et du vent. Après 3 ans de métier, j'ai pu en voir, défiler du monde, aujourd'hui, il y avait un peu de tout: comme cité précédemment, les habitués et même, je dirais les poivrots, qui ne viennent ici que dans le but de se saouler à grand coup de piquette, il y avait aussi ceux qui viennent pour trafiquer, pour marchander, je les haïssais ces gens-là, mais il n'y avait rien d'illégal dans leur démarche, donc, j'étais bien forcé de les laisser ici... Et puis, il y avait tout simplement ceux qui ont été surpris par la vitesse à laquelle le froid et le vent s'étaient abattu dans cette ville d'alberta. Tout ces gens me donnaient du travail, plus que je ne peux en supporter. Et bien évidemment, par ce froid, deux larbins sont malades ! Il n'y en avait qu'un seul qui était présent, Rugny. Je le cherchais du regard dans cette immense salle presque pleine, après quelque minute de recherche, je le trouvais à la table 11, en train de l'essuyer après le passage de quelques personnes qui prit par le temps avaient du partir affronter le plus rugueux des temps...Dans ma marche vers le comptoir, une phrase m'interrompait : "Hola, tavernier, mettez-nous la petite soeur de celle-ci ! Et un bout de pain nous ferait toujours plaisir !"Je serais mon poing, quel manque flagrant de polistesse si seulement on pouvait leur apprendre un peu de courtoisie, tout serait plus agréable! Mais en me retournant, vers d'où provenait la voix, j'afficha un beau sourire en leur disant : "Aucun problème, tant que vous me payer votre ardoise qui commence à s'allonger messire !"
J'allais chercher ce qu'il fallait à ses messieurs dont ma seule envie étaient de voir mon poing entre leurs deux yeux, mais, on ne peut pas tout avoir dans la vie. Je cherchais la bouteille, mais où donc l'avais je mise, je ne la retrouvais plus, misère... Après quelques secondes de rélféxion je me disais que si je leur mettais un autre vin, ils seraient incapable de dire que les deux vins servis, n'étaient pas identiques, alors, pourquoi m'en priver? Je leur apportais ce qu'il m'avaient demandé et qu'est que j'ai peiné pour obtenir un petit : "Merci"Que je détestais ce travail qui était le mien, mais c'était le meilleur moyen pour me faire connaitre du monde albertien, et puis qu'aurais-je pu faire d'autre? Videur de poisson? Non merci... Je retournais une nouvelle fois derrière mon comptoir où rugny me rejoint, il avait l'air exténué, je compatissais à sa peine, quel boulot harassant qu'on avait ce soir, si déja, au moins les autres étaient la, mais non, même pas... Après quelques secondes, on m'interpellait une nouvelle fois me retirant de mes pensées :
" hey Ewan, tu as encore eu raison... J'ai du mal à l'avouer, mais ce que tu as dit l'autre jour était vrai... qui l'aurait cru?" Alors d'un sourire sincère je lui rétorquais :"Eh, tu me connais non? Comme si cela te surprenait ! "
Mais quand je lui dis ceci, la porte s'ouvrit et Logan, le roupilleur du poste de garde qui ne rate jamais une occasion de venir à la taverne, il était connu par plein de gens de la taverne à qui d'ailleurs, il adressait un regard assez malicieux mais autoritaire, puis à sa suite venait deux assassins et quand la taverne leur a ouvert les portes, tout le monde s'est arrêté dans leurs activités, ne serait-ce qu'un instant, avant de les reprendre... Personnellement, la simple vue de leur écharpe m'infligeait un sentiment de glaciation en moi, en plus, leur tête ne m'était pas inconnues, on les voyait traîner de temps à autre dans Alberta. Si je ne connaissais pas la fille, la réputation de l'homme était très connue, il s'apellait Shiro, réputé pour avoir tué des personnes de sang-froid, des personnes comme ça autant s'en faire des amis ! Je voyais déja Rugny, s'aprètant a aller prendre leurs commandes, je le frenais en lui disant :
" Je m'occupe d'eux, toi, va plutôt ranger un peu le fouillis, il en a bien besoin!"Une fois cette phrase achevée je regardais à nouveau les assassins qui s'étaient séparés de Logan, qui au passage avait la mine défaite... Une fois qu'ils se soient assis, j ai pris mon courage à deux mains, fit mon plus beau des sourires disponibles dans ma collection et je m'avançais vers eux. Une fois arrivé à leur table, laquelle d'ailleurs, Rugny avait essuyé, il y a peine dix minute, je regardais Shiro dans les yeux, ses yeux rouges, aux couleurs de son écharpe m'infligeait la plus grosse des frayeurs que j'ai pue ressentir à ce jour, mais mon sourire, figé, restait et je pus leur déclarer ma phrase habituelle: "Bien le bonjour brave gens, bienvenus au Roulin Mouge, alors qu'est que vos mines affamées désirent?"
Correction & Commentaires de Lynn :- Spoiler:
Niveau Sens :
- Il n'est pas sensé savoir qu'il y aura une révolution. Oui, c'est lui qui va la commencer, et ça aurait pu être une bonne initiative d'en parler un peu librement, comme pour rire, mais ça ne doit pas se passer comme ça. Je crois me rappeler que dans le contexte du jeu, il y a une petit synthèse de "comment tout commence". C'est bel et bien une servante enfuie de Pontera qui va témoigner à Alberta et provoquer la colère des Albertiens, et là ton personnage va dire "c'pas possible faut faire quelque chose !".
Là, les Albertiens sont supposés être encore baignés dans l'illusion que tout se passe bien à Pontera. Dans le genre "pas de nouvelle bonne nouvelle". Donc il ne pourrait pas dire de telles choses à ses clients, vu qu'il ne sait rien.
- Le truc de la pièce à double face, c'est pas mal, même si très copié de Batman. C'est bien le genre à ton personnage d'avoir un... engin comme ça. Mais bon, je ne t'interdit pas d'adopter définitivement l'idée, mais je crois que ce serait mieux de choisir autre chose. Ce serait, selon moi, plus drôle, et mieux si par exemple ton personnage disait toujours une phrase, qu'il répèterai à chaque fois qu'il a raison, ou que quelqu'un lui dit "ah merci" ou un truc dans le genre. Une phrase du genre "Mais j'ai toujours raison !" ou "Je te le dis : il faut toujours me faire confiance !" porterai sans doute beaucoup plus de sens à tes textes.
- " ... Puis, la porte s'ouvrit, une partie de la salle passa de l'obscurité à la pleine lumière. Sous, bien évidemment les grognements de quelques hommes saouls qui dormaient dans leur coin. ... "
Siparti et moi avons toutes les deux insisté sur le fait que nous arrivons en soirée. Et j'ai décris le couché de soleil plus d'une fois. Alors oui, c'est possible que l'auberge soir illuminée par les rayons horizontaux, dans la mesure où l'auberge pourrait se trouver en face de la place et donc que le soleil arrive droit sur l'entrée lorsqu'il se couche. Mais ça fait un peu... bizarre quand même. Et puis, j'avais écris, je crois, que le soleil était déjà presque entièrement tombé derrière l'horizon. Et aussi, si Shiro et Eléanore voient la lumière de l'auberge de l'extérieur, ça veut dire qu'il fait noir dehors, et clair à l'intérieur.
- " ... Puis à sa suite venait deux personnes, assez grands ; mais pour ma part, je peut vite donner l'adjectif grand. Ces deux personnes, étaient des assassins, rares dans ces contrées, ils avançaient vers une des dernière table libre... ... "
Je trouve que tu banalises beaucoup le fait que des assassins entrent dans ton auberge. Je veux dire par là que les Assassins, je le dis dans mon post, tout le monde sait qui ils sont : des gens qui résolvent les problèmes entre les gens en tuant ceux qui méritent de l'être. Disons que si ça reste un job sans cœur, ils sont respectés parce qu'ils ont déjà fait pas mal de "grandes actions" qui sont racontées partout dans le monde. Toi, ton Ewan, il doit avoir vu une fois des Assassins dans toute sa vie : c'étaient Eléanore et Shiro, qui étaient déjà venu à Alberta, plusieurs années de ça. En voyant leurs écharpes rouges, j'aimerai que les gens se disent que n'importe qui pourrait être puni pour n'importe quelle action. Personne n'est parfait. Donc ça doit quand même être un peu... "wouaw !" de voir un assassins. Ils doivent pas avoir un aura très commun.
- " ... A l'autre bout de la pièce je les entendais à peine, je ne pus distinguer que certains mots, par exemple j ai su distinguer des paroles, enfin, quelques mots d'un des deux assassins ... "
Comme tu l'écris, les Assassins et le garde se trouvent à l'autre bout de la pièce. Mais tu dis que tu les entends à peine... tu devrais ne pas les entendre du tout ! L'action se passe dans une auberge, il y a plein de monde, tu es derrière le bar, les gens parlent à moins d'un mètre de toi, et tu crois pouvoir entendre ce que dit un homme à l'autre bout de la salle ? Shiro ne vas pas crier au garde, il parle plutôt doucement, donc je vois mal Ewan entendre ce qu'il dit par dessus le brouhaha des conversations et des probables chants des saouls.
- " ... Mais une idée m'arrivait en tête, deux alliés assassins n'est jamais une mauvaise chose, ... "
Mélange de la première et de la cinquième remarque : Ewan ne sait pas qu'il y aura une révolte, et tu dois pas prendre les assassins pour des chiens que tu peux utiliser pour affermir tes buts. Plus tard, tu pourras tenter de convaincre les assassins de se joindre à toi, mais pour l'instant, tu ne dois même pas y penser. D'ailleurs c'est une bonne idée de leur demander, plus tard.
- " ... alors 20 secondes à peine après qu'ils se soient assis, j'arrivais à leur table ... "
Lorsque le texte est écrit à la première personne, les notions du temps peuvent être différentes. Mais bon, vingt secondes et une éternité d'attente, c'est pas très cohérent. Moi j'avais pensé que vous hésitiez à venir servir les Assassins, ou simplement que t'étais très occupé, que tu n'avais pas le temps et que tu croyais que quelqu'un s'occupait déjà d'eux et que finalement tu remarques qu'y a personne donc tu t'y colles avec retard.
Voilà ce qui est à corriger niveau sens du texte. Tu as déjà beaucoup à faire là (et puis, vu que tu dois à peu près tout ré-écrire, ça sert à rien de commenter la construction des phrases et l'orthographe ^^'). Bonne correction ! Commentaire de Lynn après édit :- Spoiler:
Suspence... suspence... Non aller, très bonne correction. Épatant même ! Pourquoi t'as pas fait ça la première fois ? Ça m'aurais évité de perdre environ une heure à corriger ! J'espère que, maintenant que tu as compris le principe (après un post comme ça, on retombe plus dans les postes de pacotille ! J'ai vu ce dont tu es capable, alors j'te lâche plus !) tu vas continuer à m'en pondre de pareils ! Bref eh... Siparti's turn ! [Suivant : Siparti ...] | |
| | | Siparti Casseuse d'oeufs (modo)
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| Sujet: Re: Après une longue journée de voyage... [fini] Mar 24 Fév - 1:41 | |
| Bien content que Logan n’avait pas hésité de partir, je me relaxai un peu plus sur ma chaise. Même si l’ambiance de cette auberge avait perdu un petit niveau de joie après notre entrée, c’était bien chaleureux et bruyant. Ça me plaisait! Pas que j’étais vraiment le genre à me mettre en état d'ivresse en buvant des tonnes de bières, mais observer était toujours une de mes habitudes quand j’avais le temps. Dans le passé, je rejoignais souvent des conversations que j'entendais, mais aujourd'hui ce n’était plus possible. Je préférais rester à mes gardes. Notre guilde devenait de plus en plus connue, et ce n’était pas toujours positif. Mon instinct me disait de faire attention à tout moment de toute manière. Être près à tout était une des raisons pour lesquelles j’avais été discret avec mon arme. Couvert par les tissus de mon habit, Iacchus était bien caché. Les gens avaient des mauvaises impressions, souvent. Je voulais éviter les problèmes. On était venu que pour se reposer de notre long voyage, pas pour des disputes sans raison ni but dans les villes où rumeurs se dispersaient comme un feu. Oui, ils ont tous l’air très sympa les gens, mais quel bavards!
Enfin bref.
Je n'avais pas remarqué - trop perdu dans mes pensées - que quelqu’un s’était approché de notre table. Parce que la taille de l’homme à la chevelure brune n’était pas si grande (sérieusement, si je me mettais debout avec mes 184 cm de haut, je me sentirai perdu !) J’avais au moins vingt centimètres de plus que cette homme, et il n’y avait pas l’air d’avoir une grande différence d’age entre nous, tout ce qui me sautait à l’œil en levant ma tête était qu'il portait un grand sourire. « Bien le bonjour brave gens, bienvenus au Roulin Mouge, alors qu'est que vos mines affamées désirent? » demanda l’homme. Être poli était quelque chose de logique dans un secteur qui demandait beaucoup de contact avec les gens. Certes, le fait que cet homme me regardait dans les yeux un peu bizarrement me gênait. Je tournis donc mon regard vers Eléonora. Qu’avait-il demandé encore? Ah oui... « Beaucoup de gens mangent votre soupe, il me semble. » me récupérais-je de ma distraction vite fait. « Accompagner de pain, viande et bière cela me semblerais assez satisfaisant. » Je ne savais pas ce que Eléonora désirait, mais elle savait s’occuper d’elle. Je la regardai en lui signalant mon ignorance concernant son choix pour le dîner, mais je me rappelai alors qu’il fallait encore demander une chambre. « Ah, et nous voudrions une chambre, s’il vous plaît. » | |
| | | Lynias L'impératrice (du poulailler)
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| Sujet: Re: Après une longue journée de voyage... [fini] Mer 25 Fév - 23:45 | |
| Cela faisait un moment que je suivais un des serveurs du regard. Le patron, en fait, et il semblait être populaire, et bien vu de la clientèle. Il voyageait entre les tables, zigzaguant entre les chaises, pour apporter les boissons et les mets aux Albertiens. Il revenait derrière le bar, échangeait quelques mots avec les hommes assis derrière le meuble haut. Toujours accompagné d'un large sourire, il vint enfin jusqu'à notre table, et proposa enfin de prendre notre commande. " Bien le bonjour brave gens, bienvenus au Roulin Mouge, alors qu'est que vos mines affamées désirent ? " " Bien le bonjour braves gens " Cela faisait un moment qu'on ne m'avait plus salué aussi sympathiquement. C'était bien. Ça me faisait du bien, je me sentais normale. Souvent, on me saluait avec un hochement de tête sombre, ou parfois quelques révérences respectueuses.
J'étais plongée dans l'observation de l'homme. Il avait une peau hâlée, et ses yeux se fondaient presque dans un le torrent indiscipliné de ses cheveux. Presque. Ses pupilles brillaient d'une lueur fougueuse, et son sourire monopolisait l'attention de toute personne dont le regard pourrait s'aventurer sur sa face. Il était petit, mais présent, et il portait avec lui une force de caractère bénéfique. Il avait tout d'un homme sociable que les gens aimaient pour sa sincérité. " Beaucoup de gens mangent votre soupe, il me semble. Accompagné de pain, de viande et de bière cela me semblerait assez satisfaisant. " Lorsque j'eus fini mon analyse de l'homme, je remarquai que Shiro me regardait avec insistance. Oups ! Oui c'était mon tour de commander. Je n'avais pas vraiment réfléchi; mais une soupe et du pain, c'était bien nourrissant, et chaud, donc parfait.
J'allais ouvrir la bouche pour faire part au patron de mon choix, lorsque Shiro me coupa. " Ah, et nous voudrions une chambre, s’il vous plaît. " Parfait, il y avait pensé. J'étais entièrement concentrée sur mon très proche repas, et le fait qu'il nous fallait un endroit (pas seulement un lit, mais aussi une bassine chaude !) pour passer la nuit m'était sorti de la tête. Je regardai mon compagnon de voyage, lui demandant silencieusement s'il avait fini de parler. En insistant sur le fait qu'il m'avait coupé, vrai. Mais nous commencions tous les deux à en avoir l'habitude. " La même chose... sans la bière. " finis-je par dire.
Je détestai perdre la netteté dans mes pensées en buvant. Même si une bière n'était pas la cause d'ivresse absolue, c'était pas principe que je n'interdis le breuvage. [Suivant : Renovatio ...] | |
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| Sujet: Re: Après une longue journée de voyage... [fini] Dim 8 Mar - 17:47 | |
| Ma phrase résonnait encore en moi-même... Je ne saurais compter combien de fois je l'avais récitée dans mon travail d'aubergiste... Peut-être devrais-je la changer? Je pense bien, mes habitués devaient à la longue se lasser de cette phrase. Et cette phrase peut aussi être caricaturée par ces gens qui se croivent marrant dans les rues, en exagèrant les manies et les paroles de chacun... Je devais changer cette phrase! Je pris le temps d'examiner Shiro avant qu'il ne puisse me donner sa commande, on ne pouvait rater ces yeux rouges, ces yeux qui m'avait inspiré une telle terreur à leur première vue. Il portait une multitude de cicatrice sur son visage, il ne les cachait pas même si il l'aurait pu par sa longue écharpe rouge... Enfin, rouge, c'est un peu exagéré, elle a dû l'être, un jour, mais elle ne l'était plus, elle tirait plus sur la couleur rouille que du rouge. Puis j'examinais sa compagne, de loin, elle me parut magnifique, de près, elle me le semblait encore plus. Ses courbes étaient harmonieuse, ces yeux d'un bleu clair me charmaient, il n'y avait que ces biceps, assez développés, qui étaient disgracieux. Mais cela n'enlevait rien à sa beauté. Mais ce n'était qu'une cliente, parmi tant d'autre... Et puis, il me fut donner de voir tellement de filles très belles dont je n'ai jamais su le prénom... Donc même pas la peine de m'attarder sur cette cliente... Puis je fus interrompu dans ma pensée par l'homme qui répondait à ma demande : " Beaucoup de gens mangent votre soupe, il me semble. Accompagné de pain, de viande et de bière cela me semblerait assez satisfaisant." me répondit-ilEncore un client qui n'allait pas causer une subite richesse de ma taverne! A quoi devais je m'attendre de la part de ces deux clients inhabituels de toute manière, ils doivent déja être fort heureux de trouver une auberge accueillante leur donnant à manger. Et puis, des taverniers comme moi, il n'y en a pas deux ! Ils sont très bien tombés ! ... Ah, avec le temps et l'assurance, aurais-je des tendances narcissiques ? Cette idée me fit rire intérieurement et au contraire de mon habitude, je me retins de leur dire ces dernières pensées puis Shiro prit à nouveau la parole sans se soucier de son amie qui elle aussi, me semblait-il, avait envie de déclarer sa commande :"Ah, et nous voudrions une chambre, s’il vous plaît."Voilà une nouvelle qui me fit plaisir, quelques sous à se mettre en plus dans la caisse! Puis la compagne de Shiro regarda celui-ci d'un regard que je ne saurais décrire, c'est le genre de regard que comprennent seulement deux amis, qui se connaissent par coeur. Donc je n'aurais su dire quelle parole ce regard décrivait. Je déteste cette sensation, celle de ne pas tout saisir de la situation...Puis après quelques secondes, la femme me dit:" La même chose... sans la bière. " Donc que je récapitule: Deux soupes, quelques tranches de viandes, du pain et une bière. Pas trop compliqué à retenir! Je les saluais d'un large sourire et je leur dit : " Un appétit tel, sera vite comblé! Rassurez vous braves gens, Rugny, mon aidant, et moi se chargeons de votre commande au plus rapide ! "Je pivota, me mis dos à la table 11 et revint vers rugny qui avait en main, un verre d'eau, qu'il s'abreuve, le pauvre, il devait être assoifé par la tâche qu'on avait en ce jour, j'en arrivais presque à ressentir de l'amitié pour lui... Je m'entendais lui dire : "Tiens bon, dans trois heures, nous fermons et enfin tu auras un peu de repos, je me chargerais seuls des 2 chambres occupées ce soir, il n'y a que les deux assassins et un poète, qui ne demandent qu'un peu de calme, je te laisse ta soirée ! "Je lui fis un sourire sincère car il était loin d'être la personne la plus futée qu'il m'ait été donné de rencontrer, mais il était méritant et après une soirée aussi mouvementée, il m' a prouvé qu'il méritait plus qu'amplement le salaire que je lui donnais. Après une dizaine de minutes, la commande de la table 11 était prête. A peine sorti de mon comptoir avec les assiettes dans mes mains. Une voix, la même voix malpolie qui m'avait déplue il y a quinze minutes me dit : " Tavernier, la petite soeur est vide, je n'ai point de raison de rester dans votre auberge ! Allez, salut! Et que les bouteilles soient remplies pour ma prochaine visite "Et un de moins ! Enfin ! En plus un client comme ça, il nous rend toujours heureux, si ce n'est quand il arrive, c'est quand il part! Et la c est son départ qui me plait ! Je déposais l'assiette de ma main droite sur sa table, pris l'argent que j'insérais dans une des poches de mon tablier et me remis en route vers la table 11. " Et me voici, avec votre commande bien évidemment" leur déclarais-je en esquissant un petit rire, " j'espère que vous ferez bonne chair avec ceci"Puis contemplant les assiettes, je fus saisi et je revins vers le comptoir, allant chercher la bière et un verre d'eau que je leur apportais ."Je me suis permi de vous donner de l'eau, c est à mon compte, on va dire que ceci est en remerciement à la confiance que vous m'accordez pour cette nuit " leur dis-je, content de la vitesse avec laquelle je les avais servi, encore des gens que je reverrais surement dans mon auberge! Enfin... J'espère ![ Suivante : Siparti...] [ Suite de l'histoire d'Ewan dans ce sujet] | |
| | | Siparti Casseuse d'oeufs (modo)
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Jeu De Rôle Personnage KOM: Shiro Dagher Personnage NM: Aspen Madden
| Sujet: Re: Après une longue journée de voyage... [fini] Sam 11 Avr - 22:05 | |
| « Un appétit tel, sera vite comblé! Rassurez vous braves gens, Rugny, mon aidant, et moi se chargeons de votre commande au plus rapide ! » l’aubergiste nous dit. Je me demandais d’où il sortait la tonne d’énergie qu’il avait. En courant partout avec des plateaux, étant arrêté quelques fois par des gens pour refaire une commande, rester joyeux et content avec le sourire au visage, et répéter les mêmes phrases à chaque table. Décidément, ce n’était pas un métier pour tout les gens. Il l’avait peut-être l’air, mais ce n’était pas du tout le cas. Enfin, l’homme pivota et continua ça soirée en prenant d’autres commandes et en se chargeant du notre.
On a pas du attendre longtemps, peut-être un peu plus que cinq minutes - qu’on avait passer en silence, en regardant la foule - avant que le joyeux revint. Avec notre commande. « Et me voici, avec votre commande bien évidemment. J'espère que vous ferez bonne chair avec ceci. » ria-t-il en placent nos assiettes sur la table. Je ne pris pas le temps de répondre, car il n’avait pas posé de question. Beaucoup de gens aurait décrit ça comme impoli, mais j’avais pas trop l’impression qu’il en avait quelque chose à faire. Il reparti immédiatement pour prendre nos boissons. « Je me suis permis de vous donner de l'eau, c’est à mon compte, on va dire que ceci est en remerciement à la confiance que vous m'accordez pour cette nuit. » Il avait plutôt l’air satisfait, cet aubergiste. Personnellement, je trouvais qu’il en avait bien le droit. La commande était arrivée assez vite, et personne n’avait posé de questions - ce que je trouvais quelque chose d’important. « Et on vous remercie pour cela. » dis-je, mon ventre se serrant en voyant la nourriture. Quelle faim impossible. « Je suppose qu’on paye après notre nuit dans l’auberge? » Après quelques tralalis et tralalas Eléanora et moi avaient enfin la chance de manger un repas normal et chaud. Ça avait quand même fait un petit temps qu'on n'avait plus mangé comme ça. Tu savais vraiment sentir le repas dans ton estomac. Il était là. Et tu n’avais plus faim après. La soupe était délicieusement faite, mais bon, comparé avec de la viande sèche et du vieux pain, même de la soupe existant que d’eau et de tête de poissons était satisfaisante. En mangeant, je surpris quelques conversations de nos tables voisines. (Enfin, diagonalement des voisins, on était toujours assis dans un coin.) Il y avait entre autre une conversation à notre gauche où une femme et un homme discutaient du sujet ‘enfants adolescents’ et comment s’en occuper. Si on pouvait (ou ne pouvait pas) faire confiance en eux pour garder un stand au marcher. Bref, pas très intéressant. J’avais arrêter de suivre la conversation au moment où la femme commençait à trouver des arguments qu’elle avait entendue d’une nièce de la sœur de son mari qui été aller à… je me souviens même plus. A notre droite, trois marchands disaient des conneries. Ils avaient plutôt l’air saoule. J’avais abandonner également de surveiller cette discutions. Comme il n’y avait rien d’intéressant à entendre dans ce village de pécheurs - comme je l'avais bien soupçonné - après le repas, Eléanora et moi montèrent vers nos chambres pour gagner un peu de repos.
Après tout, on avait eu une longue journée de voyage… | |
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| Sujet: Re: Après une longue journée de voyage... [fini] | |
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