Angel&Demon: test pour devenir Niveau 3 n°3

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Trentes minutes, trentes minutes! Que je poussais cette stannée voiture, ah! Et puis, le film était commencé, je n'avais pas encore pleinement concience que j'avais toute la vie, enfin l'éternité devant moi et ne pouvais m'empêcher de râler, une petite habitude ancrée chez moi, eh oui! Quand on est Vampire, on ne change pas complétement non plus, nous ne sommes pas des monstres, comme on le dit dans les livres, on a des sentiments nous aussi, et pour moi, râler était essentiel!

Pfou, en plus, j'avais raté un dîner chez des humains, car c'était à La Push, Kate m'avait dit que c'était trop dangeureux, je me rappelle que mes parents, frères et soeurs m'en avaient parlé, mais je ne me souvenais plus pourquoi, je ne voulais pas être ridicule en le demandant à Kate, j'ai donc fais semblant de comprendre et ça avait l'air d'avoir marché, raison de plus pour que je râle, je ne me réintégrerais jamais dans cette satanée vie remplie d'humains si je continuai comme ça! Et les cours ne reprenait pas de si tôt! Vivre une éternité était déjà mortellement ennuyant, dire que ça ne faisait que deux ans que j'étais vampire! Une horrible odeur me vint aux narines, qu'est ce que cela pouvait être? Je me tournai d'un mouvement avec Kate pour voir la raison de l'odeur, une jeune fille était à la fenêtre de l'hôpital devant lequel nous étions. Tiens, d'habitude, les humains sentaient bon pour moi!...?
Kate lâcha: "Pouah ! Quelle puanteur!!!"
Apparement, l'humaine ne sentait pas bon pour elle non plus...

"Humain, ricana ma conciente, qui te dit que c'est une humaine?" Enfin, je me rappelai de la discution avec mes parents et seul un mot tournait dans mon esprit: Loup-Garou. Comme si la jeune fille de la fenêtre avait entendu ce mot, elle se tourna vers nous et nous échangeâmes un long regard quand d'autres garçons apparurent, l'odeur était vraiment insupportable, mais un deuxième mot tournait dans mon esprit avec l'autre: Fuite... Ils étaient trop nombreux, pas le temps d'appeler ma famille, deux contre... Quatre, c'était inimaginable. Je me tournai vers Kate, légèrement inquiète, elle aussi regardait à la fenêtre. Sans doute n'avais-je pas vraiment de courage, sachant que c'était un suicide, aussi je lui dis:
-On court?

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Mon personnage: Lucie

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J'étais allongée dans mon paradis, une belle forêt, mon visage était éclairé par les rayons du soleil qui percaient difficilement les branches d'arbres touffues. Je soupirai en fermant les yeux, soupirer, c'était la seule chose que je savais faire depuis que j'avais perdu la parole...

Flash-Back:
-Lucie, pour te punir d'avoir tué quelqu'un dans ta vie d'humaine, nous t'enlevons la parole et ça pendant une durée indéterminée...
J'avais beau eu protesté, rien n'y avait fait, j'étais belle et bien muette.
J'étais sortie du "bureau" quand on me dit à travers la prote:
-Si tu veux retrouver la parole, une onne action ne serait pas refusée...
Ensuite on m'avait conduit dans mon Paradis, cette forêt...
Fin du Flash-Back

Je réfléchissais, peut-être n'aurais-je pas dû me suicider pour retrouver cet amour que je ne rretrouverais quand même pas... Je regardai tristement les cicatrices sur mes poignets, elles étaient refermées, comme par enchantement, mais, avec ce que je vivais, je n'étais plus vraiment surprise par ce qui arrivait içi... Il n'y avait pas eaucoup de choses différentes en y réflchissant, personnes n'avait d'ailes et d'auréoles, ni de fourche et de cornes, on était dans le même état que lorsque la mort était venue nous chercher, du moins, pour le peu de gens que j'ai croisé, même Dieu était normal... Enfin, si on peut dire que quelqu'un qui a une partie du cou tranhée est normale... Moi, j'étais plus ou moins comme quand j'étais morte, mes cheveux étaient lâchés, j'avais toujours cette chemise de nuit blanche, ou la moitié des manches étaient couvertes de sang, la seule chose qui avait changé était peut-être ma beauté, oh ca oui, j'étais plus belle qu'avant!

Quelqu'un se mit au-dessus de mon visage, je me relevai et le saluai d'un signe de tête.
-Bonjour, me dit-il, impassible, nous avons une mission pour toi...
Soupir de ma part.
-... Cela pourrait vous faire retrouver la parole...
Je relevai vivement la tête, les yeux pétillants, lui montrant qu'il avait toute mon attention.
-Vous devez expliquer à une certaine personne qu'elle est morte.
J'haussai un sourcil, il était malin celui-là, sans paroles, je faisais comment pour expliquer au crétin qu'il était mort, non, mais je vous jure, comment est-ce que l'on pouvait ne pas savoir que l'on était mort?!
-De toute façon, vous n'avez pas le choix, dit-il sans même me regarder.

Je le suivis donc. Nous quittâmes mon paradis pour celui du crétin qui ne savait pas qu'il était mort. Tandis que nous marchions, je me rendis compte qu'il y avait quand même encore une différence au Paradis qu'au monde des humains, nous marchions... Ben, sur les nuages... Spécial, non?
Nous arrivâmes devant une petite maisonette, bizzare comme sorte de Paradis... Et nous entrâmes sans même demandé la permission.
-Voilà celle à qui vous devez expliquer ce qui lui arrive...
Ah! C'était une fille, une crétine, quoi...
Elle avait les cheveux vers vert foncé et les yeux noirs, elle me rappellait étrangement quelqu'un, enfin non, ce n'était pas possile, ce n'était pas... Je me tournai rapidement vers le peudo ange qui m'avait cnduite içi mais il était déjà parti...

Génial, voilà que je me retrouvai coincé avec une femme à qui je devais expliquer qu'elle était morte en étant muette, sans compter que cette femme était l'assascin de mon fiancé et celle que j'avais tuée...

Spoiler:

Toujours devant le miroir, je commence à croire que quelque chose ne va pas. Je me penche en avant pour mieux me voir. Non... non. Je suis la même, du moins... presque : je suis propre et belle. Après mon bain, j'ai enfilé une tenue de lin kaki clair qui s'assemblait harmonieusement avec mes cheveux. Elle ressemble vaguement à une robe, mais en deux parties et en dessous de la ceinture, c'est bien un pantalon. Les tissus sont larges et... j'avoue, beaucoup plus confortables que les tuniques en cuir que je porte d'habitude. D'ailleurs, je ne sais pas pourquoi je ne l'ai jamais mise auparavant. En fait, je me souviens déjà l'avoir vu quelque part, mais où ? Je ne savais pas qu'elle était dans ma garde-robe.

En fait, maintenant que je l'ai observée un instant, je me souviens d'où je la connais : lorsque j'étais enfant, dans la zone protégée, nous portions tous des tenues semblables à celle-ci. Digne de mes plus heureux souvenirs... que fait-elle dans ma garde-robe ? Peu importe, en fait : je suis contente de l'avoir.

Jusque là penchée sur mon reflet pour inspecter les moindres détails, je décide de prendre du recul. Peut-être trouverais-je ce qui cloche, même si tous ces détails devraient suffire. Il y avait autre chose... mon visage... mon apparence... mes expressions... Après avoir fait un pas en arrière, j'ai vu dans le miroir quelque chose en trop. Quelqu'un, exactement. C'était une fille, blonde avec une peau halée. Elle me paraît assez jeune et je me demande bien ce qu'elle fait là. Dans mon appartement !

Je me suis jetée contre le mur et j'ai tout de suite regretté ma tunique de cuir noir. Elle était peut-être moins confortable que celle-ci, mais elle était parfaite pour les courses, les combats pour simplement niveau discrétion. Le lin faisait trop de bruit à mon goût. Je suis pointilleuse, je le sais. Et, puis, ma tunique noir avait des portes fusils et poignards un peu partout, parfait pour mes missions. Pourquoi ce relâchement ce matin ? Je me réveille, un peu dans le cake, et voilà... une inconnue chez moi et pas d'arme. C'est malin !

Je porte mon regard sur le lavabo. Peut-être y a-t-il quelque chose d'exploitable sur le meuble ? J'avais beau être super organisée en mission, quand c'était chez moi... je ne m'étais jamais attendue à être dérangée ainsi ! Enfin bon... à part l'Organisation, personne ne sait où j'habite. Elle a dû me suivre, d'une manière ou d'une autre. Bon... sur le lavabo, il y a une lime à ongle, et on peu dire qu'elle est plus ou moins pointue. Toujours mieux que rien. Je m'en saisis, lentement, silencieusement, et me lève contre le cadre de la porte.

Il sera bientôt temps d'agir, il ne faut pas la laisser entrer trop loin. Trois... Deux... Un... Je me découvre et lui saute dessus. A la manière d'un bon vieux placage comme pendant les Systèmes d'entraînements, je l'immobilise. Temps pour les explications.

" Je te pose trois questions. Je veux que tu répondes directement, sans délai; ou je te tranche la gorge. Première question : Qui es-tu ? Deuxième : Que fais-tu ici ? Troisième : Où as-tu eu l'adresse ? "

Spoiler:

Dès le départ je ne l'avais pas sentit, cette fille n'était pas censée savoir qu'elle était morte, donc, elle réagirais comme avant, dans la vie d'humaine, dionc comme en mission. Donc, elle réagirait mal, du moins pour moi. Mais bon, une fois encore, je n'ai pas le choix. Mais c'est en entrant dans la maison, quand l'Ange s'était décidé à partir, que je m'étais réellement inquiétée. L'intérieur était plutôt simple, blanc, jolie, à mon goût, qui l'eut cru, elle semblait un peu inhabité, voilà ce qui clochait. Aucun bruit. Pas de pas. Pas l'ombre de cette satanée policière ou un truc dans ce style là qui avait descendu mon copain. Ah, elle l'avait pas sentit le coup de couteau!
En parlant, ou plutôt pensant, étant donné que je ne sais plus parler, je n'ai pas le temps de faire un miuvement, que cette p*te est sur moi, une lime sur ma gorge, génial, je me sens un peu... démunie sans parole.

Elle me tient au sol de ma manière à ce que je ne bouge pas assez pour pouvoir la désarmer, en y repensant, même désarmée, j'étais à nonante pourcent sûre qu'elle arriverait à me tuer aussi facilement que moi je l'avais tué... Ses cheveux me tombaient sur le visage et c'était assez désagréable dans le sens où ses cheveux me chatouillaient horriblement, mais surtout que j'étais très chatouilleuse.

" Je te pose trois questions. Je veux que tu répondes directement, sans délai; ou je te tranche la gorge. Première question : Qui es-tu ? Deuxième : Que fais-tu ici ? Troisième : Où as-tu eu l'adresse ? "

Elle n'avait pas l'air de plaisenter, je devais bien avouer que j'étais un peu tendue; mais je me repris bien vite, j'étais déjà morte, donc, je ne devais pas mourir encore une fois... N'est ce pas? La lime quant à elle, ne me faisait pas peur du tout, en m'étant suicidée en me tranchant les veines, je n'avais pas vraiment peur des objets tranchant, ça faisait couler le sang et je devais avouer que c'était plutôt... marrant à le regarder s'écouler...

Mentalement, j'énumerais: je m'appelle Lucie et je suis celle qui t'a tué, ça me faisait vraiment pensé à ce très vieux film d'horreur: Choqui la Poupée. Et ah! La pauvre, si je lui disais ce que je faisais ici, simple, je venais simplement lui dire, ou plutôt lui faire comprendre qu'elle était morte! Et pour la troisième, de un, il n'y a pas d'adresse à ce pseudo Paradis, deux, je ne connaissais même pas son adresse dans le monde Terrestre, c'était un ange qui m'avait conduite. C'est vrai que pour quelqu'un qui n'est pas au courant qu'elle est morte, c'est assez... invraisemblable.
Bien, le plus important était maintenant de lui faire comprendre qu'elle ne pouvais simplement pas me tuer, puis, d'essayer de lui faire comprendre ce qui lui arrivait. Je braquai mes yeux dans les siens.
Petit moment de flottement.
Je finis par montrer ma gorge, sur laquelle était encore la lime, et secouai la tête, bien, bien, bien, je lui avais... plus ou moins fait comprendre que je ne savais pas parler.

Maintenant, le dégagement de cette... position inconfortable. Une idée plutôt inimaginable vint doucement germer dans mon esprit. Une idée que je n'aurais jamais eu étant vivante. Peut-être était-ce à cause de la réflexion qu'elle se faisait sur les signes que je lui avait adressé mais quand je pris son bras pour me dégager, la lime ne fit que m'érrafler. Très peu de sang coula, mais ce n'était pas mon principal soucis, je n'étais pas encore dégagée et je n'étais pas sûre de pouvoir retenir son bras encore longtemps... Ca ne faisait que cinq minutes que j'étais là et voilà que je me retrouvais sur le point de me faire égorger, j'étais censée lui expliquer comment cette sale tueuse était morte et sûrement me "réconsillier" avec elle, mais on partait vraiment sur de mauvaises bases: moi qui était en proie a une infatiguable envie de vengeance, tandis qu'elle devait sûirment avoir une folie meurtrière parce qu'une inconnue était rentrée dans sa maison...

Bon, tu as un bon RP, c'est sûr. Je veux dire que tu mériterais ton niveau... mais le niveau trois à sa particularité : (autant il faut savoir mener un RP pour passer niveau 2) il faut savoir jouer un personnage absolument rien avoir avec notre personnalité en passant niveau trois. En fin de compte, tu as réussis à détourner assez le personnage que j'avais prévu à la base pour en faire un caractère plutôt... semblable au tien. Du coup je crois qu'il serait juste de juste poster un post dans une situation absolument rien avoir.

Je vais poster une situation, et tu devras la continuer. Tu es bien sûr mon personnage (dit, la jeune fille) et fait ce que tu veux dans la suite.

[ HJ: Je ne ressemble pas du tout à ça au contraire mais passons outre...]

Vous souvenez-vous de votre première migraine? De cette douleur massacrante qui provenait de votre crâne? Le 26 juillet 2008, je vécus cela pour la première fois. Et ce fut des plus mémorables, pourrait-on dire. C'était insupportable. Oui, je n'avais jamais eu aussi mal à la tête, à croire que c'était le boucan que faisaient les pas des taureaux marchant vers moi qui provoquait cela. Les taureaux qui étaient d'ailleurs bien trop proches de moi, bon premièrement, il fallait que je respire parce que là, à force de retenir ma respiration, j'allais m'écrouler. Puis, il fallait que mes jambes arrêtent de trembler, j'avais eu la même réaction la première fois que j'avais été à la visite médicale et que j'avais dû me mettre en sous-vêtements devant les garçons. Je secouai la tête, non, il fallait éviter de penser à ça, surtout en période de crise comme maintenant. Je n'étais pourtant pas habillée en rouge mais les taureaux fonçaient vers moi à l'allure d'une voiture de Ferrari. Une Ferrari pas rapide, d'accord, mais la peur aidant, mon monde divaguait facilement... Un pas, un coup de marteau dans ma tête. Pam, pam; pam, pam. J'avais l'impression que ma tête allait exploser. C'était comme un Duel, qui craquerait le premier, ma raison ou ma tête. Soit je commençais à pleurer comme une idiote devant une bande de garçons qui n'éviteraient pas de se foutre de moi. Soit c'était ma tête qui explosait, au sens littéral du terme...

Ils étaient à... un mètre? Et les battements sourds que j'entendais dans ma tête sonnaient comme les derniers "Tic Tac" d'une bombe. Je fermai les yeux et pris une grande inspiration; ne pas balbutier ni pleurer et encore moins gémir! Les garçons étaient là, près de moi, non, même devant moi. Je sentais déjà des larmes me monter aux yeux, ah! J'avais dit non! Comme si elles me comprenaient, les larmes ne roulèrent pas sur mes joues, il y aurait au moins un bon point dans cette "rencontre", je n'aurais pas pleuré... Déjà un garçon commençait en me donnant une tape amicale sur l'épaule. Tellement amicale que j'en aurait sûrement un bleu durant tout le séjour...

- Eh salut! Tu viens pour le stage j'imagine. Moi c'est Emilien, lui Fred; Adam...

Je ne l'écoutais plus; mes yeux effrayés passaient d'une tête à l'autre sans parvenir à en garder une idée nette dans mon esprit chamboulé. Des vrais ados. Oui, j'étais une adolescente aussi, mais d'abord, je n'étais pas un garçon et puis je n'étais pas... normale. Bien que pour moi, c'étaient plutôt les autres qui n'étaient pas normal. Tous remplis d'acné, de boutons sur le point d'éclater et certains même avec un appareil dentaire. Pas que je sois contre, mais le tout n'était pas beau à voir et, si l'appareil par exemple était fait pour les rendre plus potables, voir un groupe de garçon puberts dans la beauté de la chose me rendait plus nerveuse que la nervosité elle-même. Je me tordis les mains entre elles, à moitié à côté de la plaque; comment s'appelait-il encore celui devant? ; Et j'avais l'impression de transpirer comme un buffle. J'essayai de calmer mon coeur qui battait à grands coups irréguliers tandis que ma respiration saccadée commençait très lentement à s'apaiser. J'étais tellement concentrée pour ne pas perdre mes moyens que j'entendis à peine la question fatidique "Qui étais-je?" Tandis que tout le groupe me dévisageait, un sursaut de conscience me dit qu'il fallait peut-être que je réponde. Pas bête. Mais bien sûr, ce fut ma langue qui répondit, mon cerveau ayant déjà levé le drapeau blanc:

-Oh, heu... Je... Je m'appelle... Heu... Hélène... Mais je, je participe pas au camp... C'est ma soeur... Heu... Marie, oui, oui, Marie!

Si un pont était tout près d'ici, je sauterais. J'étais sûrement la pire gourde que ce monde ait connue à ce moment même. Mais la tirade, quoi que complètement ratée, eût l'effet escompté: les garçons se désintéressèrent de moi et partirent. Maintenant, je me trouvais seule avec deux lourdes valises et trempée de surcroît. J'avais horreur des camps de vacances...

Hum.... Toujours un peu "rebelle" ton personnage.

(Désolée du retard, on avance pas vite hein :/)

J'veux dire, la jeune fille - quel que soit son nom - pense comme quelqu'un de révoltée qui aimerai bien pouvoir casser la gu*ule au monde. Mentir, ironiser, s'adresser au lecteur de manière directe (injonctive), ... ça donne l'impression que la fille est hyper extravertie, mais qu'elle est juste mal dans sa peau pendant la scène à l'arrivée au camp.

Du coup, j'hésite à te donner ton niveau. Le but du niveau trois est un peu d'oublier son opignon pour se fondre, pour penser comme le personnage. Or, quand je lis ce post, je vois clairement qu'elle ressemble (en manière de penser), à tous tes autres personnages.

Alors j'te propose un truc... *fait fonctionner son petit cerveau sous-développé*. Tu as deux choix : ou tu continue ce sujet avec la fille sans nom super coincée et timide, et tu me prouves une fois pour toute.
Ou tu ponds encore un autre RP dans lequel tu choisis toi-même ton personnage. J'comprends que c'est dur de squatter le personnage de quelqu'un d'autre, donc je me dis que ce serait surement plus facile si tu choisissais toi-même. Donc, tu pourrais aussi refaire ton idée avec ton personnage.

Tu as le choix.

Ca m'embête un peu parce que tu as le niveau d'écriture et d'inventivité, je n'en doute pas, pour passer niveau trois, mais le but du test est de passer au dessus de sa propre vision des choses, ce que je ne vois pas encore chez toi. Un dernier essai A toi de choisir !